• L’Egypte et les Etats-Unis mettent tout en oeuvre pour étouffer Gaza

    Ma’an News (par Info-Palestine) 
    publié le mercredi 16 décembre 2009.

    Où l’on s’aperçoit que la perversité et la cruauté n’ont pas de limites lorsqu’ils s’agit de contribuer à l’étouffement de la bande de Gaza et de sa population... La collaboration égyptienne et américaine avec Israël atteint ici de nouveaux sommets, l’armée américaine et les autorités égyptiennes jouant directement le rôle de sous-traitant de l’occupant israélien - N.d.T].

    Ma’an News a appris que le projet égyptien, révélé par le quotidien israélien Haaretz, de construire un mur souterrain le long de sa frontière avec Gaza est une des deux initiatives soutenues par l’armée américaine.

    Ces derniers mois des ingénieurs de l’armée américaine ont entamé la réalisation du projet en deux phases et coûtant plusieurs millions de dollars pour bloquer les flux d’armes et d’argent [et de produits divers de première nécessité - N.d.T] dans la bande côtière assiégée.

    La première étape du projet comprend l’installation de capteurs ultra-perfectionnés installés sous le sol et capables de détecter des sons ou des mouvements à proximité. Des experts américains ont commencé le travail il y a un an, et celui-ci est en voie d’achèvement.

    Les capteurs, de la taille d’un poing, sont implantés en dessous de Rafah avec des câbles à l’intérieur de tuyaux installés à 15 mètres de profondeur le long de la frontière. Chaque capteur est relié à un panneau électronique et un écran d’ordinateur visualisant l’activité souterraine. Chaque fois qu’un mouvement ou un son est détecté à proximité, les capteurs envoient des informations détaillées sur l’emplacement et les dimensions de la source vers un système spécial de surveillance.

    Quatre ingénieurs militaires américains sont chargés de surveiller ces capteurs et d’analyser les activités de façon à différencier les nouveaux percements de tunnels et l’usage quotidien « en contrebande » de marchandises. Dans tous les cas, les forces américaines gardent le côté israélien informé de tout mouvement détecté, bien que l’ensemble de l’opération soit menée du côté égyptien

    Israël et l’Egypte imposent un terrible blocus sur Gaza depuis que le Hamas en a pris le contrôle en 2007, n’autorisant qu’un mince filet d’importations et d’exportations, et interdisant aux 1,5 million d’habitants d’en sortir. Les Palestiniens ont eu alors recours à la construction d’un vaste réseau de tunnels souterrains, approvisionnant les habitants de Gaza avec une variété de produits interdits.

    L’aide américaine a joué un rôle essentiel dans l’application du blocus par l’Egypte. Les sources de sécurité égyptiennes affirment connaître près de 1300 tunnels souterrains, dont 450 ont été fermés au cours de cette année.

    Seconde phase

    Mais Le Caire semblerait réticent face à la deuxième étape du projet qui consiste en l’installation d’un mur d’acier sous la frontière et révélé par Haaretz plus tôt cette semaine. Cette phase, fortement appuyée depuis six mois, est impopulaire parmi les responsables égyptiens qui se sentent poussés à aller de pair avec ce qu’ils considèrent comme une initiative purement israélo-américaine.

    Des responsables américains ont confirmé une implication dans la première étape, mais nient qu’il y ait une deuxième phase.

    Le mur d’acier et les capteurs seront installés le long de 10 à 11 kilomètres de la frontière, laquelle est longue de 13 kilomètres. En effet deux à trois kilomètres ont été exclus parce que le sol est tellement mou le long de ce tronçon qu’il empêche naturellement l’exploitation de tunnels stables.

    Les zones exclues sont mentionnées par les officiels égyptiens dans Rafah avec les marqueurs internationaux n ° 1 et n ° 3, qui sont tous deux près de la plage.

    Tous ces éléments métalliques et ces capteurs ont été fabriqués aux États-Unis. Il y a six mois, des cargos ont déposé les plaques dans un port sur la côte méditerranéenne égyptienne, où elles ont été chargées sur des camions militaires et transportées à Rafah dans le plus grand secret.

    Les plaques, qui auraient été transférées par la ville de Cheikh Zweid, mesurent 18 mètres sur 50 centimètres et ont environ cinq centimètres d’épaisseur. Elles ont été conçues pour être plantées dans le sol en parallèle, disposées côte à côte pour augmenter la partie enterrée du mur frontalier et donc son efficacité contre les exploitants des tunnels, lesquels utilisent parfois des explosifs pour creuser.

    Les autorités égyptiennes ont installé un réseau de ces plaques sur deux sites le long de la frontière, l’un est situé à environ quatre kilomètres au nord du port, et un autre à environ 500 mètres au sud du terminal de Rafah.

    Les forces de sécurité les ont plantées dans le sol, sous le prétexte d’effectuer des travaux d’entretien. Ils ont également utilisé des équipements ordinaires, tels que des machines pour creuser des puits d’eau afin de ne pas éveiller les soupçons. Comme le temps presse, cependant, des parties de panneaux d’acier sont restées exposées au-dessus du sol.

    [Pas à un mensonge près] les Egyptiens ont officiellement nié toute implication, mais Ma’an a appris que l’Etat égyptien avait confisqué ou acheté des terres privées le long de la frontière pour y réaliser son projet. La plupart de ces terres appartenaient à des agriculteurs qui ont individuellement accepté des paiements au-dessus des prix du marché, de la part d’acquéreurs représentant en fait le Caire.

    Des centaines d’arbres ont été déracinés au cours de ces derniers mois tandis que les autorités égyptiennes mettaient en place leur système souterrain.

    12 décembre 2009 - Ma’an News Agency - Vous pouvez consulter cet article à :

    http://www.maannews.net/eng/ViewDet...

    Traduction : Claude Zurbach

    http://www.info-palestine.net/article.php3 ?id_article=7804


    Ma’an News (par Info-Palestine)


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  • Climat: Hugo Chavez s'en prend au capitalisme qui dévaste la planète
     



    COPENHAGUE - Le président du Venezuela Hugo Chavez s'en est pris avec virulence mercredi au capitalisme qui dévaste la planète, depuis la tribune de la conférence climat de l'ONU à Copenhague.

    "Un esprit hante les rues de Copenhaque... c'est le capitalisme, le capitalisme" a martelé M.Chavez à trois jours de la conclusion attendue d'un accord contre le réchauffement climatique.

    "Le modèle destructeur du capitalisme, c'est l'éradication de la vie", a-t-il poursuivi en brandissant le livre du journaliste français Hervé Kempf intitulé "Comment les riches détruisent la planète".

    Le président du Venezuela a également attaqué les pays riches qui ont promptement réagi l'an passé à la crise bancaire et financière en déboursant des centaines de milliards de dollars pour sauver les banques: "Si le climat était une banque, vous l'auriez déjà sauvé !".

    Par ailleurs, il a attaqué le président américain Barack Obama, prix Nobel de la Paix va-t'en-guerre, selon lui.

    "Je ne pense pas qu'Obama soit déjà là", a-t-il lancé.

    "Il a reçu le Prix Nobel de la Paix pratiquement le jour où il envoyait 30.000 soldats tuer des innocents en Afghanistan et maintenant, il va venir ici avec son Nobel, le président des Etats-Unis..."

    M. Obama devait arriver vendredi à Copenhague pour la clôture du sommet, selon la délégation américaine. Environ 115 chefs d'Etat et de gouvernement devraient se joindre à la conclusion attendue du nouvel accord.

    Source ici 


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  • http://www.archive-host2.com/membres/images/77561342/santons_Vierge/Vierge_Jouve_Seguret_ecran2007-01-13_45JPG.jpgC’est une terrible nouvelle que vont sans doute relayer tous les médias de France et peut-être même d’Europe.

    On se demandait si des symboles français allaient être souillés par des iconoclastes, de tristes individus qui contestent les valeurs historiques de la France.


    Ils ont osé, les fourbes ! Ils ont osé s’attaquer à la religion chrétienne, l’une des valeurs racines de La France comme l’a si bien dit le président de la république. Ils ont osé s’en prendre au Christ si cher au cœur des français authentiques, ces descendants de Charles Martel et des croisés. Ce sont des misérables!!

     

    Cela ne fait aucun doute, c’est téléguidé par des islamofascistes. Ils ont voulu frapper là où ça fait mal.. Au cœur de l’identité chrétienne dans un village du cœur de La France.

    J’attends le commentaire d’Ivan Rioufol dans Le Figaro, l’analyse de Caroline Fourrest dans Le Monde et le prochain bloc-note de BHL dans Le Point. L’Express y consacrera sûrement un dossier complet avec une vidéo de Christophe Barbier.

     

    Ils sauront nous dire en quoi nous devons nous préparer au pire maintenant.

     

    Car les faits sont gravissimes. Le gouvernement ne doit pas rester sans réagir, lui qui fait tout pour que les valeurs de la France chrétienne ne subissent pas l’influence des mécréants cosmopolites issus de l’immigration maghrébine et subsaharienne.

     

    A La Ferté St Cyr, dans le Loir et Cher, une crèche de Noël avait été montée devant la mairie. Le week-end dernier, des vandales ont carrément décapité Jésus et sa mère, la vierge Marie, l’enfant a même été arraché des bras de sa mère. Les personnages étaient volumineux et en bois. Les sauvages ont dont utilisé une scie, ce qui en dit long sur la préméditation de leur geste.

    La police a déjà un indice: le boeuf et l'âne ont été épargnés ce qui l'amène à considérer qu'il existe sûrement un front commun entre des alterécolos de l'ultra gauche protecteurs des animaux et les islamistes.

    Source Ici 


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  • La température baisse, le “plan grand froid” est réactivé et le rappel du discours du candidat Sarkozy refleuri sur le net, à défaut de revenir sur les télés et notamment celles du service public…

    Mais qu’avait donc dit le candidat NS:

    Nicolas Sarkozy affirmait que s’il était élu, plus personne ne dormirait sur le trottoir d’ici à 2 ans.

    C’était à Charleville-Mézières, le 18 décembre 2006.

    Le candidat Sarkozy s’était donné deux ans pour y parvenir à partir du jour de son élection.

    Voici le texte de cette promesse électorale:

    “Je veux, si je suis élu président de la République, que d’ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d’y mourir de froid. Parce que le droit à l’hébergement, je vais vous le dire, c’est une obligation humaine. Mes chers amis, comprenez le bien : si on est plus choqués quand quelqu’un n’a pas un toit lorsqu’il fait froid et qu’il est obligé de dormir dehors, c’est tout l’équilibre de la société qui s’en trouvera remis en cause.”


    EH BIEN  OUI,  M.  SARKOZY A TENU PAROLE :

     

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    Une bonne évacuation policière sur le canal Saint Martin puis sur les bords de Seine et la promesse est tenue: plus personne obligé de dormir sur le trottoir….

     

    Idem rue de la Banque:

     

     

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    Et puis si vous n’êtes pas encore convaincu du fait que M. Sarkozy tient ses promesses, voici quelques statistiques….:


     369 SDF sont morts dans la rue en 2008,

       Pour 2009 nous en sommes déjà à 290…..


    Oui, Môssieur, le “Président” tient ses promesses, cela fait exactement 659 SDF en moins, obligés de dormir sur le trottoir !!!!

    Source:   
    http://www.mortsdelarue.org

    Bon, allez, je ne suis pas un  sarkophile primaire…


    OUI, je vous concède un cas où M. Sarkozy a bel et bien merdé par rapport à sa promesse:

    Il a foutu  Mme Boutin, Ministre du …Logement, dehors et  il ne s’est jamais occupé de la recaser…


    Vous voyez bien, moi, je suis objectif, je ne voudrais pas prendre le risque qu’on me confonde avec un certain …Frédéric Lefebvre….

     

    Allez, une dernière pour la route, euh…pour la rue:


    M. Sarkozy, hier encore a brassé des milliards (qu’il n’a même pas encore en poche…) mais il n’a pas trouvé quelques sous, dans son futur emprunt, pour honorer sa promesse de 2006….

     

    Je vous signale aussi un excellent coup de gueule sur le bloc-note de mon copain internaute Pat59

     

    Source Ici 


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  • Honduras : Disparitions et assassinats, une vague répressive contre la Résistance

    Le CODEH dénonce un plan de terreur pour en finir avec le processus de fortification d’une alternative politique et sociale dans le pays. Plusieurs demandes d’enquête sont en cours, dont une devant la Cour Pénale Internationale.


    Des arrestations et des détentions illégales, des assassinats et des disparitions ont caractérisé les dernières semaines au Honduras, que différentes organisations de droits de l’homme ont classé comme une vraie offensive pour détruire le récent travail d’organisation et de renforcement du Front National de Résistance Populaire (FNRP), dans sa tentative de commencer son cheminement vers la conformation d’une force politique et sociale capable de contrer les partis traditionnels pro-putschistes et d’appuyer l’installation d’une Assemblée Nationale Constituante.

    Après les élections controversées du 29 novembre dernier, pour lesquelles au sein d’une abstention significative que 60% a été élu le candidat du Parti National, Porfirio “Pepe“ Lobo Sosa. Depuis dans le pays c’est une vague de répression sanglante contre les membres actifs de la Résistance qui s’est abattue, intensifiant encore celle la répression constante qui sévit depuis le coup d’État du 28 juin 2009.

    A l’aube du 14 décembre, Walter Tróchez, défenseur des droits de l’homme, spécialement de la communauté LGTTB a été assassiné. Ils l’ont jeté depuis une voiture au centre de Tegucigalpa, quelques jours auparavant il avait été séquestré, cruellement frappé et il avait réussi à se sauver en se jetant du véhicule conduit par des hommes qui l’accusaient d’être un membre du Front National Contre le Coup d’État. [Voir Tentative de kidnapping d’un activiste des droits de l’homme]

    Le 6 décembre, cinq jeunes hommes, tous membres actifs de la Résistance, ont été assassinés de sang-froid à la Colonia Villanueva, dans la partie est de la capitale, tandis qu’un jour avant des hommes armés ont fait irruption dans les installations du journal El Libertador, en menaçant le personnel des rotatives qui durant ces cinq derniers mois a durement travaillé pour dénoncer le coup d’État, et en emportant des ordinateurs et des appareils photos. [Voir Les escadrons de la mort assassinent des membres de la résistance à Tegucigalpa]

    Le 8 décembre ont été libérés quatre des cinq activistes de la Résistance qui avait été séquestré quelques jours avant. Le cinquième, Santos Corrales García, a été assassiné et son corps décapité a été trouvé à 50 kms à l’est de la capitale.

    “Les 4 et 5 décembre, un groupe de cinq personnes avec des passe-montagne et habillées avec les uniformes de la Direction Nationale d’Investigation Criminelle (DNIC), armés de fusils Galil et de pistolets 9 mm -l’armement officiel de la Police- ont arrêté monsieur Santos Corrales García et quatre autres personnes dans la Colonia Nueva Capital de Tegucigalpa, raconte le directeur du Comité pour la Défense des Droits de l’Homme au Honduras (CODEH), Andrés Pavón.

    Les personnes enlevées ont été cagoulées pour qu’elles ne puissent pas identifier le lieu où elles ont été emenées, possiblement un centre clandestin de détention. Elles ont été torturées pour donner des informations sur les leaders de la Résistance dans la colonia où ils vivent, et les tortionnaires ont exigé de connaître l’endroit où vit madame Ada Marina Castillo, elle aussi membre de la Résistance. [voir Les disparitions et les crimes politiques reviennent]

    Nous sommes face à une vraie stratégie de la terreur, continue Pavón, et c’est un plan pour arrêter le processus d’organisation de la Résistance avant la prise de pouvoir de Lobo le 27 janvier prochain. C’est un plan qui va s’intensifier dans les semaines à venir et nous voyons déjà comment la police et l’armée capture les jeunes hommes dans les quartiers et les colonias, tandis que les leaders de la Résistance au niveau national suivent sans pouvoir avoir une vie normale par crainte à ce qui peut leur arriver”.

    Andrés Pavón directeur du CODEH {JPEG}Pour le directeur du CODEH la vague répressive vise à décapiter le mouvement de résistance, pour que le nouveau gouvernement, issue d’un processus électoral irrégulier et illégitime, n’ait pas à lutter avec une résistance active et organisée.

    “Le CODEH et la Plate-forme que nous composons avec différentes organisations de droits de l’homme demande l’intervention de la Commission Interaméricaine des Droits de l’homme (CIDH), pour qu’elle mette en application le mécanisme de mesures de précaution en faveur des personnes menacées.

    De plus, nous dénonçons tout ce qui se passe dans notre pays devant les organes des droits de l’homme de l’ONU et devant le procureur de la Cour Pénale Internationale (CPI), pour qu’une enquête et un jugement soient initiés contre les responsables de ces crimes.

    Nous savons, explique Pavón, que l’Accord Tegucigalpa-San José prévoyait la mise en place dans les mois suivants d’une Commission de la Vérité. Cependant, nous croyons que les conditions pour qu’elle puisse sièger ne sont pas réunies, parce que dans le pays il n’y a pas encore de garanties d’État de droit, et beaucoup moins de confiance et de fiabilité dans les organes de justice de ce pays. Il ne peut y avoir une Commission de la Vérité dans le cadre de ces barbaries”.

    Des organismes internationaux suivent de près le cas du Honduras

    GIFEn septembre dernier, l’Association Pour les Droits de l’Homme d’Espagne (APDHE) et la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH) ont présenté un communiqué à la CPI, pour qu’elle commence une enquête afin de déterminer la responsabilité pénale de ceux qui ont commis de graves violations aux droits de l’homme dans le cadre du coup d’État au Honduras, tandis que l’Observatoire International sur la Situation des Droits de l’Homme au Honduras (OISDHHN) a lancé un appel urgent auprès de la communauté internationale pour qu’elle reste vigilant face aux graves violations des droits de l’homme dans le pays.

    De son côté, Amnesty International a demandé une enquête indépendante qui garantit que tous les responsables d’abus de droits de l’homme soient ammenés devant la justice.

    Dans un document rendu public pendant une conférence de presse au Honduras, la délégation d’Amnesty International a exigé “la révocation de toute la législation, tous décrets et de tous les ordres exécutifs émis par les autorités de facto qui affectent directement ou indirectement les droits de l’homme, l’assurance que l’armée revienne dans ses casernes, qu’elle arrête de participer à des opérations policières, et que tous les membres des forces de sécurité rendent des comptes pour les abus commis entre le 28 juin et fin novembre”.

    “C’est important, a terminé le directeur du CODEH, que continue la solidarité avec le peuple hondurien et l’observation de ce qu’il se passe au Honduras, surtout en ce moment où augmente une persécution à caractère sélectif”.


    Source : Ola represiva contra la Resistencia
    Traduction : Primitivi

    mardi 15 décembre 2009, par Primitivi


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