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Par reineroro le 14 Juin 2011 à 15:55
UNE AUTRE POLITIQUE DES DROGUES EST POSSIBLE
Devenu président de la Mildt, Etienne Apaire a tout entrepris, même appeler le Csa à son
secours, pour occulter le débat sur le cannabis.
Mais après des années de silence, une émission de télévision: Et si on légalisait le cannabis?, puis
un livre : Pour en finir avec les dealers de Stéphane Gatignon et Serge Supersac ont
entrouvert la porte du débat.I1 y a quelques jours la Global Commission on Drug Policy, une commission composée de
personnalités internationales au-dessus de tout soupçon, déposait un rapport à l'Onu, un
rapport où non seulement il dénonce la "guere à la drogue", mais propose de dépénaliser
son usage, et pour le cannabis d'expérimenter des alternatives à sa prohibition.
En 2011, le CIRC qui fête ses vingt ans organise son dix-septième "Appel du I8 Joint ".
À l'époque, nous étions persuadés que l'usage du cannabis serait dépénalisé avant l'an
2000, mais les differents gouvernements en place ont résisté à nos arguments de bon sens en
déformant nos propos et résisté à nos actions pétaradantes en nous traînant devant les
tribunaux.Depuis le retour de la droite au pouvoir, la seule politique en cours, entre deux campagnes
de prévention caricaturales, c'est la répression contre les usagers et les jardiniers en herbe,
une politique aussi coûteuse qu'inutile comme chacun sait.Dans la foulée de la Marche Mondiale et à l'approche de la campagne présidentielle,
l'Appel du 18 joint 20Il est l'occasion pour les amateurs de cannabis, mais aussi pour tous
les partisans du changement, de dire NON à la tolérance zéro pour les drogues et de dire
OUI à la légalisation du cannabis.À PARIS, RENDEZ-VOUS SUR LA GRANDE PELOUSE DE LA VILLETTE LE SAMEDI 18 JUIN À 16 HEURES
[téléchargez, imprimez, et faites tourner les tracts du 18 Joint 2011]
À Lyon c'est le 18 Juin à 18h au Parc de Gerland (Lyon 7e), plus d'infos sur le site du CIRC Lyon.
À Toulouse c'est le 18 Juin à 18h, au Jardin japonais, Métro Compans-Cafarelli
À la Réunion c'est le 18 Juin à 18h, place du Barachois à Saint-Denis.
Samedi 18 juin Appel du 18 joint
Paris - Lyon - Toulouse - Saint-Denis de La réunion
http :l/ryww. 18 joint. org
Pour toute information complémentaire : 06 85 54 48 32
CIRC icivotre commentaire
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Par reineroro le 18 Avril 2011 à 15:07
Festival du Chant de Marin Paimpol 2011
Comme tous les deux ans, le festival du chant de marin de son nom Breton Gouel Kan ar Vartoloded, revient sur le port de Paimpol.
Ce rassemblement maritime créé en 1989, est dédié aux chants marins, mais également aux bateaux anciens de toutes les provenances, les vieux gréments.
A chaque édition un continent ou une région est représenté :
En 2003, il s'agissait des "Musiques des Rivages de Méditerranée", en 2005 des "Musiques de L’Est et Musiques des Mers du Monde" en 2007 de "l'Afrique et Mers du Monde" et lors du dernier festival en 2009, "Les Amériques".
Cette année le thème du festival du chant marin de Paimpol est « Escales celtiques ».
Cet événement se déroulera les vendredi 12 - samedi 13 et dimanche 14 août 2011 de 10h00 à 02h00.
Le programme officiel du festival de chants marins, a été dévoilée le 14 avril 2011
Musiques celtiques
Simple Minds (Ecosse), The Chieftains (Irlande), Altan (Irlande), Avalon Celtic Dance (Irlande), Carlos Nuñez et Dan ar Braz (Galice-Bretagne), Déborah Henson-Conant (Etats-Unis), Mercédes Péon (Galice), Milladoiro (Galice), Susana Seivane (Galice), Bourrasque Celtique (Québec), Scone (Irlande), Béoga (Irlande), The Booze (Irlande), Kila (Irlande), Llan de Cubel (Asturies), Gaëlic Storm (Etats-Unis), Afro Celt Sound System (Grande-Bretagne), Nabac (Irlande) et The Boys in the Gap (Irlande-Bretagne).
Musiques, chants et danses de Bretagne
Les Goristes, Raggalendo, Louis Capart, Red Cardell, Gwendal, Afro Breizh, Iwan B, Brieg Guervenno Groupe, Ouf La Puce, Hot Club du Kreiz-Breizh, Aodan, Malig Laouen, Morgan Crézé...
Musiques du monde
Susheela Raman, Alela Diane (Etats-Unis), Hindi Zarha, Moriarty, Cats n Fruits (Allemagne) et Anakronic Elektro Orchestra.
Chants de marins
Michel Tonnerre (Lorient), Djiboudjep, Cabestan, Les Matelots en Bordée, Taillevent (Sarzeau), Babord Amures (Saint-Malo), Nordet (Lorient), Diatonik Penn ar Bed (Léon), Fortunes de Mer (Binic), Kanerien Trozoul (Trébeurden), Mouezh Port Rhu (Douarnenez), Captain Malo et Monig (Le Croisic), Les Souillés de Fond de Cale + invités des 20 ans (Paimpol), les Cent Z’Escale (Paimpol), les Kanerien Pempoull (Paimpol), Vent de Noroîse (Seine), Sur les Docks (Dunkerque), Les Brouilleurs d’Ecoute (La Rochelle), Stormalong John (Grande-Bretagne), Banana Boat (Pologne), Diseurs du Soir (Nord), Les Très Mollos (Saint-Thuriau), Halfway Harmony (Cornouailles), Capstern (Lauzach), Pavillon Noir (Marseille), Strand Hugg (Manche), Hooks and Crookes (Irlande), Jenkins Ear (Guernesey), Celtic Sailors (Seine-et-Marne), Claude Michel (Concarneau), Chris Ricketts (Grande-Bretagne), Armstrong’s Patent (Pays-Bas), Cré Tonnerre (Belgique), La Bouline (Loiret), Les Marins d’Iroise (Plouzané), Stetrice (Guérande), Les Gaillards d’Avant (Valréas), Act of Mutinity (Pays-Bas), Le Grand Caraquin (Nantes), Kanerien Trozoul (Trégastel), Krog e Barzh (Trégastel), Paddy’s Passion (Pays-Bas), Kalffa (Nord), Indygo (Pologne), Exmouth Shantymen (Grande-Bretagne), Doris, Many a Mickle (Grande-Bretagne), Les Pirates (Saint-Malo), Sasiedzi (Pologne), A Virer (Plougastel-Daoulas), La Bordée (Trégunc), Le Ténor de Brest (Douarnenez), Hervé Guyot & David Pasquet (Lorient), Z’Embruns de Comptoir (Yvelines), Manu Roblès & Rémi Martin (Paimpol) …
Bagadoù, fanfares et musiciens de rue
La Fanfare Ô Pruneaux, Sambadaboom, Neketeal’s Family, Bec’h Dehi, Cercle Anjela Duval, l’Orchestre international du Vetex, la Batala de Nantes, Macaïba, Bagad Plouha, Bagad et Bagadig Perros, Sant Brieg District Pipe Band, No Water Please, Monig & Malo, Les Chevals et Sonerien da Viken.
Festoù-noz
Les Frères Morvan, Kerloa, Menguy-Guéguen (chanteurs), Baron & Anneix (sonneurs), Le Bour Bodros Quintet, Le Trio Virtuel, Laborie-Le Bourdonnec (chanteuses), les Frères Cornic (sonneurs), Titom, Startijenn, Tripot, Loar Gann...
Programmation jeune public
Gérard Delahaye, Coquin de Sort…
Contes et littérature maritime
Yann Quéré, Captain Chewing et Coquin de Sort, Mary Le Lez, Yvon Dagorn et l’Ombre des Sons…
Cette année, une programmation incroyable qui fera le bonheur de tous !!!!!!!!!!!!
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Par reineroro le 26 Janvier 2011 à 13:21
NAÎTRE À NOUVEAU
Mémoire depuis l'exile du génocide de l'Union Patriotique en Colombie
Pendant toutes ces années de persécution, des centaines de militants de l'UP ont quitté la Colombie pour échapper aux balles. "Volver A Nacer" reconstitue l'histoire tragique de ce parti à travers le témoignage des exilés en Espagne. Leur vie est un exemple de lutte pour la défense des droits de l'homme dans son sens le plus large et une alternative au conflit qui ensanglante le pays depuis des décennies. Ils étaient des hommes et des femmes courageux qui ont tout donné pour leurs idéaux et qui ont perdu leurs partenaires, enfants, parents, amis, connaissances ... Aujourd'hui, dans la douleur pour tant d'absences , ils sont fiers de ce qu'ils étaient même s'ils ne peuvent pas retourner en Colombie.
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Par reineroro le 22 Janvier 2011 à 10:48
Paris, 23 janvier: ¿QUIÉN DIJO MIEDO? Honduras de un golpe
Nous n'avons pas peur. Au plus profond du coup d’Etat au Honduras
Documentaire de Katia Lara, 90’, 2010, VOSTF
Un an et demi après le coup d’Etat au Honduras, dont les effets durent aujourd’hui encore dans l’indifférence médiatique, ce documentaire retrace cet événement, montre la lutte pacifique d'un peuple qui résiste face à la dictature, et propose des clés pour comprendre la nature profonde de ce soubresaut politique en Amérique latine.Dimanche 23 janvier à 16h
Projection suivie d'un débat avec le collectif Alerte Honduras.
Bar-restaurant Le Lieu-Dit
6 rue Sorbier, Paris 20e (Métro Ménilmontant)// Entrée libre //
Visitez le blog du film (avec bande-annonce) : http://quiendijomiedofilm.blogspot.com
SYNOPSIS
René, jeune Hondurien, est acteur amateur dans les spots télévisés de promotion du référendum sur la nouvelle Constitution au Honduras. Le 28 juin 2009, au lieu d'un référendum, survient un brutal coup d'Etat : l'armée séquestre et fait sortir du pays le président Manuel Zelaya. René, à l'instar de milliers d'hommes et de femmes, rejoint le Front contre le Coup d’État. Un Honduras inédit se fait jour : un peuple qui résiste, et malgré le muselage de la presse, la violence et la mort, se soulève dans les rues pour défendre ses droits. Le film raconte leur histoire.KATIA LARA, réalisatrice, exilée en Argentine
« Il n’y a pas de démocratie dans un pays où des milliers d’hommes et de femmes doivent choisir chaque jour entre la résignation et l’exil. J’ai aujourd’hui le privilège et la responsabilité de raconter l’histoire de notre résistance. »« Ça a été dur et douloureux. On a perdu des compagnons courageux, on n’envisageait pas l’exil. Mais cette expérience a aussi été un formidable détonateur pour notre volonté de reconstruire le Honduras par le biais d’un nouvelle Constitution, pour continuer à croire en une Amérique latine unie par la solidarité et la dignité. »
Collectif Pico y Pala
[fr] http://picoypala.canalblog.com
[esp] http://picoypalacine.canalblog.comle doc ici
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Par reineroro le 19 Janvier 2011 à 09:28
Même la pluie est pétri de qualités, en particulier une mise en scène brillamment chaotique qui nous plonge sans détour ni préliminaires dans cette Bolivie écrasée par la crise de l'eau.
En 2000, un bras de fer impitoyable est engagé entre l'entreprise Aguas de turani, qui se voit offrir l'eu de la ville, et des habitants désemparés prêts à tout pour regagner cette ressource vitale.
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Par reineroro le 12 Décembre 2010 à 09:59BERNARD, NI DIEU NI CHAUSSETTES
Sur les bords de Loire, Bernard Gainier continue bon gré mal gré à cultiver sa vigne et à partager son vin entre amis au « Bureau », sa cave. À 73 ans, il a toujours vécu seul et reste fidèle à un mode de vie rural qu’il a toujours connu. Bernard est un gardien de la mémoire. Celle du poète local Gaston Couté, héritier de François Villon, qui connut son heure de gloire dans le Montmartre de la Belle Époque.
Les deux hommes, qu’un siècle sépare, ont en commun des idées libertaires et la volonté de témoigner de la condition paysanne des plus humbles. Depuis 25 ans, Bernard écume les salles des fêtes de la région pour faire entendre les textes du poète écrits dans sa « langue maternelle », le patois beauceron.
En 2009, il a enregistré son premier CD en solo, une consécration qui le laisse de marbre… « J’chu d’abord un pésan ».Bernard, ni Dieu ni Chaussettes de Pascal Boucher n'est ni un énième documentaire sur une paysannerie éteinte, un monde révolu dont on voudrait à tout prix conserver la trace, ni un ersatz des Profils paysans de Depardon. Il s'agit ici d'un film singulier qui nous montre la vie et le quotidien de Bernard Gainier, paysan beauceron à la retraite mais également paysan anarchiste et surtout un des derniers « diseux » donnant encore à entendre la poésie de Gaston Couté.
Poète libertaire et chansonnier mort à 31 ans au début du 20ème siècle, Gaston Couté, en digne héritier de François Villon, décrit la misère et la dureté de la vie des gens de la terre. Né à Beaugency, à côté de Meung sur Loire où vit Bernard Gainier, en Beauce, il commença très tôt à composer en patois et connut son heure de gloire dans les cabarets parisiens, tout en poursuivant parallèlement une activité de journaliste dans les journaux anarchistes La barricade et surtout La guerre sociale. Bernard se sent compagnon de révolte du poète anarchiste qu’était Couté ; sur les murs de sa maison délabrée sont punaisés pour toute décoration des slogans syndicaux.Paysan à la conscience politique très à gauche, réfractaire à toute forme d'ordre et de pouvoir, antimilitariste et anticlérical, il explique que la naissance de ses convictions anarchistes date de la guerre d'Algérie par le biais d'un camarade d'infortune. Il n'est pas un « bouseux » mais s'inscrit en héritier des « peineux », de cette condition paysanne pauvre et laborieuse qui a usé son corps à travailler la terre. Réfractaire au bourgeois, au rupain « qu'est comme du chien dent, ça r'pousse tout l'temps », au propre sur lui, au beau parleur méprisant les petites gens pour leur saleté et parce que ce sont des « peignes-culs ».Il a Gaston Couté chevillé au corps, comme un frère, il en est le porte-parole qui continue à dire cette poésie écrite en patois, sa « langue maternelle ». Il est connu et reconnu pour cela, il se produit sur scène avec un groupe, Le Ptit crème, il vient même de sortir un CD. Les répétitions se font dans la grange mais également dans ce qu'il appelle son bureau, c'est à dire la cave, où il sert le vin qu'il produit lui-même sur quelques arpents de vigne. Il sillonne aussi les écoles du coin pour parler de Gaston Couté, sans langue de bois. On savoure d'ailleurs la scène où en visite dans un collège il explique aux collégiens présents que les lois sur l'instruction publique ont servi avant tout à préparer des milliers d'écoliers pour la guerre de 14-18 ! Drôle de rencontre.
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Par reineroro le 10 Décembre 2010 à 09:59
Dans un monde où nous sommes bombardés de messages publicitaires qui envahissent l’espace public, les oeuvres de Bansky offrent un regard différent – un regard à la fois drôle et incisif, sans être dogmatique pour autant.
Banksy s’attaque au cinéma, résultat: « Faites le Mur », un chef d’œuvre sur toile, une performance sur la bobine, et par là même un fantastique pied de nez à l’imposture.
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Par reineroro le 4 Décembre 2010 à 12:58
Fils d'une blanchisseuse et d'un tailleur, Ernest Cole quitte le lycée, à l'âge de 16 ans, quand les lois sur l'éducation des Noirs entrent en vigueur et les cantonnent aux travaux les plus ingrats.
Quatre ans plus tard, les autorités rasent le township où vivait sa famille. Alors qu'il n'a que 20 ans, Ernest Cole crée l'un des corpus photograpiques les plus déchirants qui soient sur les conditions de vie des Noirs sous l'apartheid.
Exilé en 1966, il a publié ses clichés aux Etats-Unis l'année suivante, dans un ouvrage intitulé "House of Bondage". A la fin des années 1970 et pendant la décennie qui suit, Ernest Cole vit sans domicile, dans les rues de New York. Il meurt en 1990, âgé seulement de 49 ans.
Aujourd'hui, Ernest reçoit enfin l'accueil qui lui est dû. La Johannesburg Art gallery présente la plus importante rétrospective de son travail jamais proposée.
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Par reineroro le 25 Novembre 2010 à 12:14
LA TENTATION DE POTOSI
Les entrailles du pays du piment possèdent une malédiction en forme de métal, suffisant en quantité pour industrialiser le monde ou pour construire un pont entre Paris et Potosí. Là-bas, à 4 070 m d'altitude l'"Oncle" exerce son métier de Méphistophélès andin, en offrant la vie (et l'or) en échange de l'âme du mineur. Et à travers les sommets, les bars et les bordels, le réalisateur recherche Morales, son alter ego, son obsession fait suspens. La "Tentation de Potosí" est une excellente excuse pour se mettre dans la peau du diable et dans la modernité faustique de son royaume.
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Par reineroro le 13 Novembre 2010 à 09:34
Ces femmes et ces hommes ont quitté un jour leurs maisons au Salvador, au Honduras , Bresil, Guatemala, Equateur pour chercher du travail aux Etats-Unis.
Leur voyage s'est fini dans un hangar où 72 corps ont été retrouvés. La plupart d'entre eux avaient été tués d'une balle dans la nuque. Il y a eu 4 survivants, un seul a donné des détails sur ce massacre. 30 victimes n'ont pas été identifiées.
Selon Luis Freddy Lala Pomadilla, survivant,les Zetas (groupe de tueurs à gages issus des troupes d'élite de l'armée, un temps au service du Cartel du Golfe, et maintenant en compétition avec celui-ci) sont en cause. Les migrants n'avaient pas de quoi payer la rançon exigée, et se seraient refusés à travailler pour les Zetas.
72 migrantes est un "autel virtuel" à la mémoire des migrants massacrés.
A voir aussi Centroamérica, dolor por dolar
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Par reineroro le 29 Octobre 2010 à 11:43
Le Progrès, Lyon Plus et Le Dauphiné Libéré n’appartiennent plus à Dassault mais au Crédit Mutuel...
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Par reineroro le 5 Octobre 2010 à 09:26
Une exposition de 33 artistes cubains inspiré par la célèbre photo de Che Guevara capturé par le photographe Alberto Korda a été inauguré dans la capitale, sous le titre"prophétie".
Elle comprend des œuvres d'artistes tels que Roberto Fabelo, Alexis Leyva (Kcho), Ernesto Ranck, Ever Fonseca, José Fuster, Jésus Lara, Kamy Bullaudy, Veronica Guerra et Reynier Ferrer, entre autres.
Le président de l'Assemblée populaire nationale d'électricité, Ricardo Alarcon, présent à l'ouverture, a décrit l'exposition comme un événement important.
L'oeuvre des artistes, a dit à Prensa Latina, est « porteur d'une conviction : que le message du Che est toujours d'actualité précisément après la grande victoire du peuple équatorien et du président Rafael Correa » contre la tentative de coup d'État.
Également souligné la nécessité «de préserver l'authenticité de la figure légendaire de la guérilla contre le modèle capitaliste qui essaie de l'utiliser dans une publicité."
"Le plus important - dit-il, est de sauver l'homme, son héritage, et tout l'avenir qu'il représente pour nous."
L'exposition a été organisée par le célèbre réalisateur de documentaires Roberto Chili et rassemble des artistes de générations et de styles différents dans une galerie havanaise, à quelques mètres du lieu où le photographe cubain le plus remarquable du XXe siècle a immortalisé l'image de la guérilla légendaire.William Pérez, de la serie El hombre es la medida de sus sueños. Acrílico rayado y madera, 2010
Roberto Fabelo: Con su cañón de futuro. Técnica mixta sobre casquillo de bala de cañon
Roberto Chile: Eternamente Che. Serigrafía sobre reloj de metal
Jose Fuster: Guerrillero Heroico. Cerámica esmaltada
José Antonio Echavarría: La era está pariendo un corazón.
Iván Raúl Basso: Hombre nuevo.
Francis Fernández: El tiempo hablará.
Dagoberto Jaquinet: El secreto de tus ojos.
Eduardo Méndez Navarro: Filo y pureza.
Eduardo Roca (Choco): Che Comandante, amigo. Colagrafia sobre cartulina.
Emilio Valdés: Trinchera. Cerámica esmaltada
Enrique Ávila: El vuelo de la estrella II. Óleo y acrílico sobre tela
Erik Olivera: Fast Forwrd. Técnica mixta sobre tela
Ernesto Rancaño: Desde siempre. Técnica mixta sobre tela
Arles del Río. Modelo para stemcil, Misión Sonrisa.votre commentaire
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Par reineroro le 27 Août 2010 à 16:52ULYSSE CLANDESTINpour la nécessaire suppression du ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale<script type="text/javascript"> $(function() { $('#lbpNewsletterDialog').dialog({width: 500, autoOpen: false, bgiframe: true, modal: true, buttons: { Valider: function(){ var bValid = true; var mail = $('#newsAboMail'); var tips = $('#lbpNewsTips'); bValid = bValid && LBP_checkMail(mail,tips); if (bValid) { $('#lbpNewsletterForm').submit(); } }, Annuler: function(){$(this).dialog('close');} } }); }); </script><script type="text/javascript"> $(function() { $('#lbpFieldSelectable').selectable(); $('#lbpFieldDialog').dialog({width: 460, height:360, autoOpen: false, bgiframe: true, modal: true, buttons: {Fermer: function(){$(this).dialog('close');}}}); }); </script><script type="text/javascript"> $(function() { $("#lbpThemeSelectable").selectable(); $('#lbpThemeDialog').dialog({width: 660, height:320, autoOpen: false, bgiframe: true, modal: true, buttons: {Fermer: function(){$(this).dialog('close');}}}); }); </script><script type="text/javascript"> $(function() { $('#lbpAlertDialog').dialog({autoOpen:false, bgiframe: true, modal: true, buttons: {OK: function(){$(this).dialog('close');}}}); }); </script><script> document.getElementById("headtit1").innerHTML="ULYSSE CLANDESTIN"; document.getElementById("headtit2").innerHTML="pour la nécessaire suppression du ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale"; </script>
Un film de Thomas Lacoste
La création d'un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale était en soi un acte d'une violence inouïe. Le débat sur l'identité nationale, et toutes les dérives verbales qui l'ont accompagné, ont confirmé les plus sombres prophéties. La prochaine étape dans ce parcours de l'ignominie sera la présentation du projet de loi Besson en septembre 2010 qui dégradera encore un peu plus la condition des immigrés en France.
Il est primordial de réagir, sans attendre. Et pour cela comprendre, comprendre les enchaînements qui conduisent à cette régression, comprendre le contexte dans lequel se déploie ce nationalisme dangereux en France et en Europe, et à quelles sources il s'alimente.
Le film choral Ulysse Clandestin (93'), et les autres films qui lui sont associés, s'y emploient. Le court métrage introductif de Thomas Lacoste Il fut des peuples libres qui tombèrent de plus haut (17') revient sur la constance de l'exclusion des étrangers de la cité, à partir d'un texte du sociologue Abdelmalek Sayad (extrait de L'immigration ou les paradoxes de l'altérité, Ed. Raisons d'agir, 2006) et d'une adaptation de la pièce chorégraphique Self portrait camouflage (52') de la danseuse et chorégraphe Latifa Laâbissi. Les dix entretiens longs, avec les intervenants du film choral qui reviennent sur leurs recherches, constituent une mise en perspective et un approfondissement essentiels.
Pour sortir des dangereuses problématiques autour de l'identité nationale que les pouvoirs cherchent à imposer, il faut rappeler ce qu'est l'histoire de l'immigration et ce que sont les caractéristiques du « creuset français ». Les origines de la nation française sont bien là, dans la multiculturalité. Ces films interrogent aussi la récurrence et les usages des thématiques racistes, notamment dans les périodes où le capitalisme entre en crise. Ils reviennent sur cette hydre, l'association de l'immigration et de l'insécurité, sans cesse renaissante.
On l'aura compris, le film-frontières Ulysse clandestin est aussi un engagement pour un certain nombre de valeurs, simples mais essentielles : hospitalité et accueil, droit d'asile, respect de l'autre et de la différence, du commun et du multiple, du partage et de la redistribution. Les sociologues, anthropologues, historiens et philosophes qui témoignent dans ce film livrent des analyses méticuleusement agencées afin de lancer un salutaire combat : la suppression nécessaire et définitive du ministère de la honte !
Avec la participation des historiens Pap Ndiaye (EHESS), Gérard Noiriel (EHESS), Tzvetan Todorov (CNRS) et Sophie Wahnich (CNRS), des anthropologues Michel Agier (EHESS), Marcel Detienne (EPHE), Françoise Héritier (Collège de France) et Emmanuel Terray (EHESS), des sociologues Luc Boltanski (EHESS) et Eric Fassin (ENS), tous membres du Collectif pour la suppression du ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale [1], de la danseuse et chorégraphe Latifa Laâbissi et de la comédienne et metteur en scène Anaïs de Courson.
Projections publiques
Mais chacun peut aussi oeuvrer en ce sens en participant à la diffusion de ce film à partir de septembre 2010 au moment où le projet de loi Besson sur l'immigration sera discuté au parlement. Si vous voulez et pouvez organiser une projection publique dans votre ville (cinéma, lieu culturel ou associatif, université, etc.) le film peut être projeté dès lors que vous prenez contact avec Julie Paratian afin de mettre sur pied l'agenda de ce tour de France.
Soutenir cette initiative et les futurs films
Pour mettre en perspective ce film choral, le projet se décline sur dix-neuf autres films-entretiens réunis dans un coffret (20 DVD) dont l'acquisition peut se faire à l’unité.
Nous vous invitons à faire connaître, circuler et projeter le film Ulysse Clandestin. Merci de nous tenir informés de vos initiatives publiques afin que nous les relayions depuis notre site. Ce film peut être aussi publié sur des sites internet. Nous vous demandons cependant une seule mention obligatoire :
Pour soutenir cette initiative et les futurs films, vous pouvez acheter le DVD 12€ ou le coffret 20 DVD 200€ (frais de port inclus) par paiement en ligne sécurisé sur le site www.labandepassante.org,
ou par chèque à l’ordre de L’Autre association, 3, rue des Petites Ecuries, F-75010 Paris.
Pour toute demande d'information, veuillez utiliser la rubrique contact du site.
Retrouvez l'ensemble de nos films en cliquant sur tous les DVD.
[1] Signez l'appel pour la suppression du ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale sur :
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Par reineroro le 25 Juillet 2010 à 18:59Caravane 55 a obtenu le prix Spécial du Festival International du Film des Droits de l'Homme de Paris en mars 2004.
Achères, Yvelines, France. Depuis deux ans, Salcuta, jeune femme Rrom de Roumanie, vit avec ses deux enfants et trente autres familles sur une lande de terre en bordure de la ville. Touchée par leur dénument, la mairie n'a jamais pu se résoudre à les expulser. Mais début 2003, le nouveau gouvernement désigne les Rroms comme un "problème à résoudre".
Le 5 mars, l'information tombe : la préfecture a prévu l'expulsion pour le lendemain matin. La ville se mobilise pendant la nuit et tente d'empêcher l'inévitable. La confrontation a lieu, mais 150 policiers encerclent le terrain et les caravanes sont détruites sous les yeux de leurs propriétaires. Archères prend alors une décision inattendue : les familles dont les enfants sont scolarisés doivent rester. Celle de Slacuta en fait partie. La mairie leur aménage un nouveau terrain au coeur de la ville et décide d'affronter le prefet.
Que dire sur ce documentaire qui n'a pas déjà été dit... Tranquillement installé, on se laisse absorber par les images qui défilent et par les propos qui y sont tenus. Puis crescendo la tension monte et un mal-être s'installe. Nous sommes bien en France et la politique que l'on y mène en faveur ou plutôt défaveur de l’accueil et du traitement des migrants ne peut pas nous laisser indifférent. Mais voilà, le maire de cette commune et tout son entourage battent le rappel.
Responsables politiques eux aussi, mais pour eux la politique n'est pas un jeu, c'est une histoire de terrain. Dans le cadre de Caravane 55, la matière était présente . Un bras de fer s'installe... Tractopelle, violence, destruction, Regards, Sourires, Larmes, Espoir. Visionnez Caravane 55 de toute urgence. Merci mille fois à Valérie Mitteaux, Anna Pitoun qui ont absolument tout fait : Réalisation - Image - Son - Montage.
Salcuta et ses deux enfants, Gabi et Denis sont enfin régularisés par la préfecture des Yvelines (juillet 2005)
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Par reineroro le 12 Juillet 2010 à 16:14
Et si le soleil devenait le "pétrole" de Cuba? - Y si el sol llegaba a ser el "petroleo" de Cuba?
Cuba se tourne résolument vers les énergies alternatives, solaire, éolienne, hydraulique, biogaz... Le pays s'est doté d'une fabrique de panneaux solaires et a sa propre technologie. Il coopère avec plusieurs pays dans le cadre de l'ALBA. Une indépendance énergétique à base d'énergies propres est-elle envisageable à moyen terme?
Cuba da un paso decidido hacia las energías alternativas, solar, eólica, hidraúlica, biogaz... El país fabrica paneles solares con su propia tecnología. Coopera con varios países en el marco del ALBA. Será posible ser independiente a mediano plazo gracias a las energías renovables?La vidéo Ici
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Par reineroro le 2 Juillet 2010 à 13:27
Oliver Stone préfère Chavez à Obama
Le cinéaste américain Oliver Stone, dont le documentaire sur la gauche latino-américaine "South of the Border" sort aujourd'hui aux Etats-Unis, déclare qu'il souhaite voir "un Hugo Chavez à la tête des Etats-Unis" et le considère comme un modèle pour l'Amérique latine.
Pour le réalisateur de "Né un 4 juillet", "JFK" ou "Wall Street", "quoi qu'on en dise, la vérité c'est que (Hugo Chavez et son gouvernement) redistribuent l'argent au peuple, aident les gens, ils ne sont pas là pour enrichir et engraisser les grandes entreprises, c'est ça le plus important".
Dans son film, le cinéaste veut dénoncer la "désinformation" qui règne, selon lui, aux Etats-Unis, chaque fois qu'il est question de Hugo Chavez. "Je voulais montrer la face cachée de l'histoire à un pays (les Etats-Unis) intoxiqué par les mensonges", déclare-t-il.
Dénonçant le "tissu de conneries" écrites sur Hugo Chavez "chaque semaine" dans le New York Times et le Washington Post, Oliver Stone estime que la liberté de la presse est plus grande au Venezuela qu'aux Etats-Unis. Là-bas, "vous pouvez dire tout ce que vous voulez. Ici, on ne peut pas dire, par exemple, +Il faudrait renverser Obama+", affirme-t-il.
Les fermetures de radios au Venezuela, dénoncées par l'opposition, "sont un mensonge", pour Oliver Stone, qui reconnaît éprouver une admiration sans bornes pour "le combattant Chavez". Au risque parfois d'y perdre son sens critique.
Les radios "ont fermé pour des raisons techniques", assure-t-il. "Sur le millier de radios du pays, trente ont fermé pour des raisons techniques, des problèmes d'autorisations, et parce qu'elle violaient les lois du pays". Et celles qui restent "sont majoritairement opposées à Chavez, alors il ne faut pas exagérer", s'emporte-t-il.
Il estime que l'opposition vénézuélienne, loin d'être muselée, a suffisamment de canaux pour s'exprimer: "Vous allez sur (le site de vidéos) YouTube et il n'y a rien d'autre que des saloperies sur Chavez. C'est pour cela qu'il fallait un contrepoids à cette histoire", dit-il.
Oliver Stone ne s'est pas embarrassé de subtilités pour décrire la situation au Venezuela, et va jusqu'à le revendiquer. "Il est important d'être simple", affirme-t-il. Pour lui, les opposants aux changements en Amérique latine veulent rendre le débat plus compliqué qu'il n'est en réalité.
"Quand vous êtes contre quelque chose, vous le rendez obscur, difficile à comprendre, plus complexe. Mais parfois, il faut être blanc ou noir", ajoute-t-il. "Il faut dire des choses simples comme +Les banques ne devraient pas garder tous les profits pour elles+".
"Quand Chavez et (le président brésilien) Lula sont arrivés au pouvoir, ils ont dit: +Nous voulons être maîtres de nos ressources naturelles, le pétrole est à nous, le gaz est à nous, ils appartiennent au peuple. Nous voulons distribuer les profits au peuple+. Et ils l'ont fait", poursuit-il.
"Ils ont dix ans d'avance sur les Etats-Unis", déplore-t-il. "Ici, on laisse les compagnies pétrolières tout voler et empocher les profits. Et qu'est-ce qu'elles en font? Elles se paient elles-mêmes, elles paient les actionnaires, elles paient de gros salaires, mais ne font rien pour aider la population.
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Par reineroro le 14 Juin 2010 à 09:51
La marée noire dans le golfe du Mexique est un évènement tragique. Du côté de BP, on a multiplié les plans foireux (aux noms ronflants) et les communiqués pour noyer le poisson (sans mauvais jeu de mots.) Et pendant ce temps, le pétrole se déverse toujours. UCBcomedy a imaginé ce qu’il se serait passé si chez BP, lors d’une réunion, quelqu’un avait renversé son café…
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