• Des scientifiques en ont eu assez de laisser parler des non-spécialistes du réchauffement climatique à leur place. Ils se sont exprimés dans un clip vidéo où ils chantent avec investissement!

    À première vue, le clip pourrait ressembler à une vidéo de rappeurs un peu rebelles... mais il n’en est rien. Tous les chanteurs de ce spot sont en réalité des "climate scientists", des scientifiques qui travaillent sur les conséquences du réchauffement climatique et sur l’avenir de la planète.

    Las de tous ceux qui en parlent sans en être de véritables spécialistes (comme on le voit au début du clip), ils ont décidé de prendre la parole... musicalement. C’est ainsi que la vidéo produite, où ils clament haut et fort leur statut de scientifiques professionnels, donne des avertissements sur le devenir de la Terre. ( Lire la suite ...)


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  • Salut à tous,

    Après des mois de travail, le live Dubamix est enfin prêt... Musiques remixées, vidéos qui seront jouées en live, jeux de lumières.... Tout est fin prêt !

    On sera donc ravis de vous présenter ce show le :

    18 mai à la Miroiterie -- 21h -- PAF : 5euros
    (88 rue de Ménilmontant, métro Gambetta ou Ménilmontant)

    Et voilà les autres dates de la tournée :

    21/05/11 /// TOULOUSE Chez Paul Etudiant

    28/05/11 /// PARIS Local de la CNT

    04/06/11 /// VOISINS-LE-BX (78) Salle de la Tour

    18/06/11 /// RENNES La Paillotte

    25/06/11 /// LEZAY (79)


    Faites passer l'info autour de vous !

    Greg, pour Dubamix

    Dub militant en téléchargement gratuit
    www.dubamix.net

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    Thiéfaine prend la pose, façon Iggy Pop, vieil iguane qui a tout vécu, débarrassé du superflu, et expose sa carcasse au grand jour.

    Sans doute l'un de ses meilleurs albums. Sa plume est lyrique, mélancolique, ironique ou métaphorique, magnifiée par de jeunes compositeurs.

    Superbe !!!!!!!!

     

     

     

    L'album en écoute ici


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  • Festival Porte Voix du 6 au 9 Avril à Oloron

     

    Chanson engagée,
    Chanson sociale, politique,
    Chanson à texte et à thème,
    La chanson qui dit, vocifère, insulte ou dénonce,
    Cette chanson-là fait partie intégrante de notre univers
    ...musical.
    Délaissée par les grands médias et pourtant toujours si vivante
    et présente, nous voulons la mettre en exergue, le temps d’un
    festival, durant trois jours.

    Lire le programme

    Organisation :

    Mairie d’Oloron Sainte-Marie
    Service culture & vie associative,
    Service jeunesse
    www.oloron-ste-marie.fr

    CCPO
    Service spectacle vivant
    www.spectaclevivant.piemont-oloronais.fr
    Renseignements : 05 59 39 98 68
    Médiathèque du Piémont Oloronais


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  • Née dans une famille de célèbres joueurs de squash pakistanais, Natasha Khan parcourt le monde dès son plus jeune âge et se forge un imaginaire propice à l’évasion. Etablie à Brighton en Angleterre, la jeune femme étudie le cinéma et la musique, rencontre Devendra Banhart et le projet Bat For Lashes voit le jour.

            

    Quatuor féminin composé de Ginger Lee, Abi Fry, Lizzie Carey et Natasha Khan.

     


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  • Sean Fournier - Oh My
    Broken Stereo (Acoustic Version)

    par Sean Fournier


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  • Rouge est un projet musical créé par Antek (guitariste de SHERKAN, LND et bassiste dans CHEPA) au milieu de l’année 2009.

    Après un essai très motivant sur une reprise de Keny Arkana, il décida de partir de cette base pour créer une musique aux frontières du rock et du rap dans laquelle il essayerait de passer un message politique sans compromis.


    Rouge est donc un groupe qui fait de la musique sociale et qui n’a aucune prétention marchande ; son seul objectif : réconcilier en énonçant les pièges de la division et fournir la violence intelligente nécessaire à la révolte émancipatrice!






    YOUTUBE

    ROUGE LE SITE


    Nouvel album à télécharger gratuitement ici !


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  • "Short Memory" de l'album "10,9,8,7,6,5,4,3,2,1" ... sorti en 1982. Un petit bijou de Midnight Oil ... passé inaperçu pour les 3/4 des gens, car sorti bien avant Beds Are Burning .

     

    Conquistador of Mexico
    The Zulu and the Navaho
    The Belgians in the Congo, Short memory

    Plantation in Virginia
    The Raj in British India
    The deadline in South Africa, Short memory

    The story of El Salvador
    The silence of Hiroshima
    Destruction of Cambodia, short memory

    Short memory, must have a, Short memory
    Short memory, must have a, Short memory

    The sight of hotels by the Nile,
    The designated Hilton style
    With running water specially bought, short memory

    A smallish man Afghanistan
    A watch dog in a nervous land
    They're only there to lend a hand, short memory

    The friendly five a dusty smile
    Wake up in sweat at dead of night
    And in the tents new rifles hey, short memory

    Short memory, must have a, Short memory
    Short memory, must have a, Short memory
    (repeat)

    If you read the history books you'll see the same things happen again and again
    Repeat repeat short memory they've all got it
    When are we going to play it again
    Got a short, got a short, got a short, got a short
    They've got a short must have a short they've got a short aah
    Short memory, they've got a.


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    Un groupe qui sort de l’ordinaire : mélange de musique de cirque moderne, de poésie, de peinture et de théâtre.

    L’An demain

     

     


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    Groupe fondé en 1982, leur dernier album  La Tierra Esta Sorda est sorti en 2009

    Sean Bienvenido

    Problemas

    Le site ici


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  • Le trio Smooth se constitue à Nantes en 2002 autour de David Darricarrère (chant, guitare, claviers, programmation), Nicolas Berrivin (basse, samples) et Christophe Declercq (batterie et samples). Il se signale la même année par un premier maxi 5 titres, Gimme Some.

    Trois musiciens férus de trip-hop, de jazz et de funk . Entre chansons et morceaux instrumentaux, le trio nantais trouve peu à peu ses marques en créant son propre style dans les albums An Electro Soul Experience (2005) et The Endless Rise of the Sun (2006). Son troisième album, The Parade (2010), montre qu'il a gagné en maturité.

     

     

    Du son ici


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  • Dans la trajectoire du groupe : jets de pierre au capitalisme, au bellicisme nord-américain, au racisme, à l’ethnocide des indigènes d’Amérique, à la violence machiste. Hommages aux zapatistes, à la ligue antifasciste, à l’organisation Women Alive, aux prisonniers politiques Leonard Peltier et Mumia Abu-Jamal.

    Le groupe a produit des spectacles pour eux, consacrant l’argent récolté à La défense de ces causes. RATM a aussi joué dans des manifestations contre Le NAFTA (Traité Nord-Américain de Libre Commerce) et l’ALCA (Aire de Libre Commerce des Amériques), presenté des shows contre la guerre (en 2000 et 2008) au portes de la Convention Nationale du Parti Démocrate, a provoqué la fermeture de la Bourse des Valeurs de New York pour quelques heures en tentant d’enregistrer un clip réalisé par Michael Moore en face de l’institution, et s’est fait censurer par la chaîne NBC pour exhiber le drapeau des USA tête en bas lors d’un concert.

    Après les attentats du 11 septembre 2001, la station Clear Channel a produit une liste de “musiques aux paroles critiquables”, dans laquelle RATM fut le seul groupe à voir inclus tous ses textes.

    De 2000 à 2007, le groupe s’était séparé mais en octobre 2010 il atterrit et “terrorise” pour la première fois l’Amérique du Sud, lors d’un voyage au Brésil, en Argentine et au Chili, rendant hommage au Mouvement des Travailleurs Ruraux Sans Terre (MST), aux Mères de La Place de Mai, à Víctor Jara et à Salvador Allende.


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  • SVINKELS : clip de "Droit Dans Le Mur" - 2008
    Album : DIRTY CENTRE

     

    Clip réalisé par : DESSIL & MEDDY
    d'après l'idée originale de FANCIE


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  • KOCHISE

    DEMOCRATIE

    La démocratie on a bien failli y croire

    C'est mauvais de marcher contre le " sens de l'histoire "

    A coups de matraques, à coup de résignation

    Tous les moyens sont bons pour forcer la soumission

    Des ultra-libéraux aux sociaux-démocrates

    Le pouvoir reste aux mains des même bureaucrates

    Il nous feront trimer ou nous jettent une obole

    Mais en réalité c'est la vie qu'il nous vole.

    Travailler, réussir, par n'importe quel moyen

    Ceux qui s'y essayent ne vont jamais très loin

    Préparer un diplôme ou gratter un millionnaire

    Pour un ou deux qui s'en sort, y en a combien derrière ?

    100% des perdants ont tenté leur chance

    mais ceux qui ont le pouvoir l'ont à la naissance.

    Dans ce système cynique n'attends rien de leur " droit "

    Parce qu'ils ont le fric et qu'ils font les lois.

    Démocratie-très peu pour moi !

    Mon pouvoir ne se délègue pas

    Ils offrent des droits accessibles

    Dans la limite des stocks disponibles

    Viennent les élections, l'illusion de choisir

    Cautionnant un système qui nous force à subir

    Sois attentif aux chiffres de la participation

    Ils révèlent le niveau de notre soumission.

    Et pendant qu'ils décident, pendant qu'ils légifèrent,

    Forts du pouvoir abdiqué par le reste de nos congénères,

    La liberté promise par le mythe démocratique

    Tu peux la mesurer entre deux rangs de flics.

    Ils nous traitent d'extrémistes, ils nous traitent de menteurs,

    Ils peuvent même nous prouver qu'il y a pire ailleurs.

    C'est vrai ! mais d'où cela vient-il ?

    Qui profitent des famines et des ventes de missiles ?

    Démocratie ici, aux autres les dictatures

    A les écouter, c'est une question de culture.

    Pour agrandir leurs marchés, maintenir notre train de vie,

    Ils assassinent là-bas ce qu'il prêche ici.


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  • SWEET SMOKE

    Fondé par Andrew Dershin, Mickael Paris, Victor Sacco, Jay Dorfman et Marvin Kaminovitz, Sweet Smoke nait à la fin des années 1960. Steve Rosenstein rejoint bientôt le groupe, remplaçant ainsi Victor Sacco à la guitare et au chant. Initialement baptisé  Sweet Smoke of the Happy Plant Pipeful, le groupe  enregistre son premier album "Juste A Poke" en Europe en 1970 faute de succès en terre natale.

    A sa sortie, la pochette de l'album , un joint de marijuana roulé dans le drapeau américain, fait scandale et se voit censurée.

    Sweet Smoke était surtout connu pour ses performances live et ses longs morceaux improvisés. C’est dans cet esprit que les deux morceaux de Just a Poke, "Baby Night" et "Silly Sally" qui durent environ 16 minutes chacun, ont été produits.

    Baby Night est d’ailleurs probablement le morceau le plus connu du groupe puisqu’il contient en fait une reprise de "The Soft Parade" des Doors, mais c'est aussi une parfaite synthèse de la créativité de Michael Paris. Le second morceau, Silly Sally, est quant à lui surtout connu pour le long (plus de cinq minutes) solo de batterie de Dorfman

     

    Autres morceaux ici


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  • Le dernier album de Josh reçu par mail avec un p'tit mot :

    Admet le, tu croyais que j'étais en hibernation dans une grotte depuis 1 an. J'ai juste pris une pause, c'est épuisant de sortir un album chaque année. Je suis très heureux de t'annoncer la sortie de mon dernier cd "Ashes"

    Un des artistes creative commons le plus talentueux et généreux avec déjà plus de 8 albums en libre diffusion.

     
     
     

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  • Presque toutes les chansons de RENE BINAME plus quelques vidéos.

     
     

    Pouquoi pas toutes les chansons ?

    Les reprises ne sont pas disponibles. En effet, pour diffuser un morceau, il faut l'autorisation de son auteur, sauf si la chanson est dans le domaine public (traditionnel, auteur inconnu ou mort depuis plus de x années). Jusque là, ça semble logique.

    Le problème est que la plupart des auteurs sont inscrits à une société du genre Sabam ou Sacem à qui ils déléguent la gestion de leur droit d'auteur. Tout se réduit alors à une question de sous. Tu diffuses... tu payes... Quand nous pressons un CD avec des reprises, nous payons... pas parce que nous adhérons à la logique du droit d'auteur mais pour qu'on nous foute la paix. Exactement comme quand nous payons un loyer non par respect de la propriété mais sous la pression de la machine juridico-répressive omniprésente...

    Ici, nous avons choisi de ne mettre que nos morceaux... Ceux dont nous faisons ce que nous voulons, sans avoir à demander (payer) la moindre autorisation à quiconque.

    Pour que les choses soient encore plus claires, je vais tenter ici d'exposer tout le mal que nous pensons du droit d'auteur.

    d'autres textes sur le sujet ici (un article du monde)
    et ici (nos aventures avec Multimania)


    Depuis que le groupe existe, nous avons réussi à échapper aux pires des pirates de la musique : les sociétés d'auteurs, les labels, les éditeurs... Parfois inconsciemment il faut bien le dire, mais rétrospectivement, nous sommes bien contents d'avoir un jour manqué de motivation à remplir les papiers d'inscription à la Sabam. Il faut dire qu'à l'époque, nous avions pris le temps de nous taper la lecture intégrale des statuts de ladite société des auteurs... personne ne devrait signer une session de la gestion de ses droits d'auteurs sans lire tout ce à quoi ça l'engage... et personne ne devrait signer après l'avoir lu.

    Depuis toujours, nous avons essayé de diffuser nos morceaux le plus largement possible, en vendant nos CDs le moins cher possible, en jouant le plus possible dans des endroits, pour des gens voyant dans les concerts autre chose qu'une activité commerciale.

    Nous ne voyons donc aucun inconvénient à ce que vous dupliquiez nos disques vous-même. Au contraire, allez y franchement. (mais faites attention aux chansons dont nous ne sommes pas les auteurs... elles ne vous exploseront pas dans les mains, elle n'endommageront ni votre graveur, ni votre lecteur, mais leur duplication est illégale, vous voilà prévenus).

    Bien sûr, vous n'aurez pas alors les superbes livrets que l'on s'échine à vous mitonnez, mais vous aurez le bon grain (cherchez bien , il y a dans cette phrase un étonnant jeu de mot d'inspiration biblique). Et encore plus bien sûr, n'allez pas faire à notre place du buziness avec notre musique. Vous avez notre bénédiction pour faire ce que vous voulez de nos chansons (duplication, diffusion, gravure, copie sur cassette, radio-diffusion, reprises et autres joyeusetés) à condition que cela soit exempt de toute arrière-pensée commerciale.

    L'industrie du disque craint la musique gratuite, ai-je lu dans un magazine informatique.

    Vrai... elle craint effectivement non seulement le piratage de ses cataloques et le manque à gagner qui va avec, mais elle craint aussi la diffusion, totalement légale et tout aussi rogneuse de chiffre d'affaires si elle se répandait, de musique par leur propres auteurs, en dehors des structures de facturation.

    Faux... elle ne les craint pas, elle met tout en oeuvre à tous les niveaux pour éviter de perdre ses sources de revenus... bourrage de crânes anti-piratage, sites de vente sécurisée, chasse aux pirates. Quand le téléchargement de musique sera une réalité, il est fort à craindre qu'il soit limité à des échantillons promo et réservé aux détenteurs de carte de crédit.

    Le droit d'auteur est le salaire de l'auteur, nous dit la Sabam.

    Peut-être, mais c'est surtout le salaire d'une nuée d'intermédiaires pour qui l'auteur n'est que le premier maillon, celui qui extrait la matière première, le mineur de fond de la chanson. Si la chaîne de la diffusion des disques est relativement connue, celle de l'exploitation des droits d'auteurs est plus discrète. Le rôle des labels, des distributeurs, des grossistes et des disquaires est plus visible que celui des éditeurs par exemple.

    De plus, qu'essaye-t-on de nous faire croire, qu'oublier de payer une redevance à la Sabam nuit aux auteurs que nous apprécions tant, qu'il ne pourrons plus nous fournir nos doses de tubes si nous ne leur versons pas les quelques sous qu'ils méritent ("tout travail mérite salaire", encore une phrase édifiante à laquelle il faudra tordre le cou), que graver un CD prive l'artiste que nous aimons de ses revenus. S'il y a un infime soupçon de vérité derrière cela, il ne faudrait pas perdre de vue que le droit d'auteur est la clef de voute de l'exploitation du circuit musical, qu'il profite principalement à quelques poignées d'auteurs omniprésent (grâce entre autre au travail de leurs éditeurs) qui pondent à grand débit, aux sociétés d'auteurs elles-même, à tous ceux qui travaillent à la gestion de cet édifice.

    Si nous étions inscrits à la Sabam...

    • Une partie du prix de nos disques lui serait versée puis nous reviendrait quelques temps plus tard, la Sabam en conservant une partie pour ses frais.
    • Les organisateurs de concerts devraient payer une redevance pour nos morceaux lors de nos concerts. Cet argent aussi nous reviendrait plus tard amputés des frais de gestion.
    • Nous pourrions toucher quelques sous pour nos passages radios.
    • Nous pourrions augmenter nos revenus à condition de gérer au mieux notre "catalogue" ou de payer quelqu'un qui s'en occupe... et c'est parti pour la spirale infernale...
    • Nous ne pourrions pas nous permettre de vous offir ici nos morceaux... nous serions obligés de vous les vendre.
    • Il me semble que ce que nous y gagnerions est dérisoire et fatiguant... par contre, 10, 100, 1000, 10000 groupes tentant leur chance, quel bénéfice pour l'ennemi.

    Une bribe de conclusion...

    Passer à la vitesse supérieure, au piratage intégral, diffusez, dupliquez de la musique vraiment gratuite, produisez-en, parlez-en.

    Cessons de fournir de l'eau au moulin de l'industrie de la musique.

    Et une ébauche d'extension de cette critique...

    Le droit d'auteur en musique n'est qu'un aspect du droit de propriété intellectuelle, qui n'est elle-même qu'une variante du droit de propriété, tout court.

    La propriété... c'est le vol !

    Si tu veux être heureux, nom de Dieu... pends ton propriétaire !

    Pour vous eclater c'est Ici


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  • KIM

    On a déja parlé cent fois de sa discographie copieuse, de la vingtaine d'instruments dont il joue, de son père ex-batteur pour Higelin, de sa naissance à Cannes, de ses années bordelaises avant sa récente installation à Paris, ou encore de ses multiples blogs et clips qui innondent le web.

     

     

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