• Chili. Une organisation mapuche déclare la guerre à la République du Chili

    vendredi 23 octobre 2009

    Dans un communiqué publié hier 20 octobre 209, les leaders mapuches de la Coordinadora Arauco Malleco ont déclaré la guerre à la république du Chili après avoir déclaré terminé le dialogue avec le gouvernement de Michelle Bachelet dans leur lutte pour la récupération du territoire ancestral. La direction de la CAM a annoncé que les mapuches renonçaient à la nationalité chilienne à la suite d’un nouvel affrontement avec la police qui s’est soldé par la mort d’un indien.

    La CAM revendique des attaques contre des camions et déclare la guerre à la République du Chili

    Nous communiquons à l’opinion publique nationale et internationale ce qui suit :

    Par le fait qu’il n’y a eu aucun signe de la part du gouvernement pour mettre fin aux forces de répression dans nos communautés, nous avons, comme Coordinadora Mapuche Arauco Malleco, pris une décision dans laquelle nous exprimons publiquement notre renonciation à la nationalité chilienne, et déclarons territoire de la nation autonome mapuche celui situé au sud du Rio Bio Bio à partir de la reconnaissance explicite que l’État fait de son existence dans le Traité de Tapihue de 1825, Art 19.

    Par conséquent, nous déclarons terminé tout dialogue avec la République du Chili et lui déclarons la guerre, à partir d’aujourd’hui, 20 octobre 2009. Et nous appelons toutes les communautés à suivre le même chemin pour parvenir à l’élimination complète de tous ces objectifs qui opèrent dans notre nation Mapuche

    Pour cela même nous avons donné liberté d’action aux organes de la résistance mapuche pour agir contre les intérêts capitalistes en territoire mapuche. . Par conséquent, nous assumons pleinement l’action récente menée à bien par nos Weichafes Pehuenches, Nagche, Lafkenches, pichunches et huilliches des communautés Mapuche en conflit de la CAM. 

    Nous communiquons à notre peuple et l’opinion publique ce qui suit :

    Mardi 20 octobre 2009, nos Weichafes ont réalisé des actions contre deux camions forestiers de l’entreprise El Bosque, qui circulaient sur la route entre Collipulli avec la ville d’Angol, précisément en haut de Cancura dans la région de La Araucania. Ils fournissent des services aux entreprises forestières et en conséquence deux de ces engins ont été détruits.

    Ces actions sont destinées exclusivement à dénoncer toutes les dernières actions violentes contre notre nation mapuche, et en même temps à soutenir le processus de récupération des terres de nos communautés en conflit.

    C’est aussi la façon par laquelle nos Organes de la Résistance du Territoire Mapuche-Pehuenche, Nagche, Lafkenches, pichunches et Huilliche expriment leur rejet des condamnations subies par nos frères détenus dans différentes prisons de l’État chilien et la façon de communiquer que tant que continueront d’exister des prison politiques et des condamnations, ces actions se poursuivront par nos Weichafes, soutenues par toutes les communautés Mapuche de la nation mapuche.

    Enfin, nous réaffirmons notre conviction de continuer sur le chemin de nos ancêtres qui avec force se sont donnés à la cause de la justice et de la dignité de notre beau et héroïque Peuple Mapuche. La Coordinadora est plus forte que jamais dans sa lutte pour le Territoire et l’Autonomie.

    Tant qu’existera la pauvreté et la misère en raison du manque de terres par les politiques de l’Etat qui légitiment la dépossession territoriale, la CAM continuera d’exister.

    Avec la force de nos Futa Kech Kuifi et Weftun (renaissance des nouveaux guerriers), qui germent et se multiplient à travers le Wallmapu pour une cause qui chaque jour devient une cause plus sacrée.

    Marichiweu !

    Organes Territoriaux de la Résistance - ORT-CAM. 

    Territoire et Autonomie pour la nation Mapuche !

    ¡WEUWAIÑ PU PEÑI, PU LAMNIEN !


    De son côté, l’Alliance Territoriale Mapuche qui depuis plusieurs mois a lancé une vague de récupération de terres, appelle à une manifestation le vendredi 23 dans la ville de Temuko contre la répression dont souffrent les communautés en confit : enfants blessés par les carabiniers, villageois arrêtés et incarcérés, perquisitions et fouille de maisons, l’application des lois anti-terroristes contre les populations en lutte pour leur territoire.

    SOURCE OCL 


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  • JOSÉ MUJICA

    José Mujica, dit “El Pepe”, 74 ans, a passé quinze ans de sa vie en prison. Son passé de Tupamaro – guérillero d’extrême gauche – dans les années 1960, au cours duquel il fut blessé, avant de se reconvertir en politique au retour de la démocratie, n’empêche pas cet ancien agriculteur, qui continue à mener une vie sans prétention, d’être le favori pour l’élection présidentielle du 25 octobre.

    José MujicaOn dit de José Mujica, candidat [du Frente Amplio (FA), gauche au pouvoir] à la présidence uruguayenne, qu’il s’approprie aujourd’hui la stratégie du président brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva, en vue de séduire l’électorat conservateur. Comme lui, il est issu de la gauche radicale, son style est informel, son verbe haut et imagé, et il n’a pas de formation universitaire.

    Mujica est un ex-guérillo du Mouvement de libération nationale - Tupamaros [une guérilla urbaine d’extrême gauche des années 1960, menée contre un régime autoritaire puis écrasée par l’armée en 1973]. Ce courant politique [sorti de la clandestinité en 1985, lors du retour de la démocratie] est aujourd’hui la composante majoritaire de la coalition gouvernementale FA, qui réunit le centre et la gauche. S’il est élu, Mujica insiste sur le fait qu’il n’y aura pas de grande réforme dans le secteur de l’économie. Et pour faire campagne il a troqué à regret sa tenue d’ancien paysan pour un costume-cravate.

    En tête dans les sondages avec 45 % des intentions de vote, le candidat va tenter de remporter l’élection du 25 octobre dès le premier tour. Dans l’éventualité d’un second tour, ses adversaires des partis traditionnels (conservateurs), le Parti national et le Colorado, devront s’allier pour pouvoir le battre.

    “Le centre droit [Parti national] a choisi de semer la peur, en exploitant la fibre conservatrice d’un pays qui veut changer, mais en douceur. Ils nous font donc passer pour une menace pour les investisseurs. Mais nous sommes en fait la garantie de la continuité”,

    Dans des lettres publiées au cours de la campagne, il promet de maintenir en place l’équipe du gouvernement de Tabaré Vázquez. Il a également déclaré que le président Lula était pour lui un modèle et qu’il s’emploierait à résoudre les problèmes sociaux de manière “politique et négociée”.

    Mujica est déjà un sénateur très populaire, celui qui a remporté le plus grand nombre de voix au cours des dernières élections. Ses fonctions de ministre de l’Agriculture au sein du gouvernement actuel [entre 2005 et 2008] ne lui ont pas fait abandonner la vie très simple qu’il mène dans une petite ferme à la campagne, près de Montevideo, ce qui lui vaut la sympathie et un soutien sans faille des classes les plus démunies.

    “J’ai du mal à l’imaginer tous les jours en costard, mais son changement d’image veut dire : ne soyez pas inquiets, Uruguayens, je saurai donner une bonne image de notre pays à l’international”, interprète Adolfo Garcé, politologue à l’université de la République d’Uruguay.

    “En évoquant Lula comme modèle, El Pepe rappelle qu’il vient de loin. Il a été révolutionnaire, sa pensée est socialiste, mais il est disposé aujourd’hui à faire alliance avec le centre ou la droite”, précise-t-il.

    Bien qu’il ait confié qu’en échange de son soutien il passerait les rênes de l’économie à l’ex-ministre de l’Economie Danilo Astori – qui a des convictions plus libérales –, Mujica défendra le secteur de l’agriculture et de l’élevage. “Il affirme sans cesse que l’agriculture a plus besoin de laboratoires que de vaches. Il rêve de voir l’Uruguay devenir une sorte de Nouvelle-Zélande, où l’Université coopérerait avec l’agriculture. Danilo Astori est moins enthousiaste à cette idée d’interférences sur le marché”, soutient le politologue.

    Le 25 octobre, José Mujica affron­tera l’ex-président Luis Alberto Lacalle (1990-1995), représentant du Parti na­tional, qui bénéficie de 34 % des intentions de vote, et Pedro Bordaberry, candidat du parti Colorado, qui totalise 9 % des intentions de vote.
    affirme Mujica [qui s’est allié au Parti communiste et surfe sur la vague de popularité du président sortant, Tabaré Vázquez].

    SOURCE 


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  • Hier, je suis tombé sur une émission culturelle dans laquelle on fait la promo d'un homme politique. C'était Jean-François Copé chez Frantz-Olivier Giesbert sur France Télévisions.

    Rien de bien intéressant sauf quand, avec un journaliste, Laurent Joffrin, et des caricaturistes (Plantu, Cabu, Jules), il débattit de la liberté d'expression en France.

    Pour Copé, tout va bien, et habilement, il suggéra aux inquiets de se rendre à l'étranger, ils verront à quel point la France est un petit paradis pour la liberté d'expression.

    Laurent Joffrin abonda à peu près dans son sens en regrettant les pressions du pouvoir sur la presse. Seul Plantu parla de graves menaces à la démocratie sans pouvoir vraiment développer tant il fut interrompu...

    Mais Plantu, malgré sa franchise, aurait-il défendu la liberté d'expression de Dieudonné comme ça en direct à la télé?

    Au même moment, on apprend que l'artiste Dieudonné éprouve les pires difficultés à pouvoir exercer son métier qui consiste à s'exprimer dans des sketchs d'humour sur des sujets de société variés dont certains avec un aspect politique.

    On a tenté d'interdire à son public de se rendre à son spectacle à Lille et ailleurs y compris dans son bus. Interdire un spectacle, c'est une interdiction à tout un public de vouloir voir un artiste Voilà en quoi la liberté de Dieudonné concerne tout le monde. 

    L''humoriste pense que la liberté d'expression est quelque chose de sacrée et qu'elle va de pair avec la liberté et la maturité du public. Donc, la sienne et celles des autres, sacrée et non négociable; y compris pour les pires des salauds!  Et ça, c'en est trop pour ceux qui se donnent bonne conscience à peu de frais et en vivent parfois! 

    Alors, il se produit dans un grand bus sur un parking quand il ne peut pas se produire dans une salle de spectacle à cause du refus des autorités préfectorales ou municipales.

    Puis, il y a, à Lyon, le spectacle au "Transbordeur" ce soir. spectacle qui affichera complet malgré les pressions sur la mairie et la préfecture de la part d'organisations antiracistes qui ne savent même pas de quoi est fait le spectacle. Le succès d'un artiste aussi décrié, prouve que ce qu'il a à dire, vaut d'être écouté et qu'un public qui choisit d'aller le voir fait preuve de maturité et de courage... Il y a des antisémites parait-il dans le public de Dieudoné. En quoi, est-ce un problème? Il y a sûrement des néo-nazis parmi les supporters du PSG comme il y avait peut-être des pédophiles parmi les spectateurs des concerts de Chantal Goya.

    L'antiracisme a bon dos et je dirais même que les antiracistes utilisent les mêmes armes que les racistes : l'intolérance, l'intimidation, la violence...

    Et puis aujourd'hui même, rebelote, le préfet de Grenoble interdit le spectacle de Dieudonné pour risque de trouble à l'ordre public. Incroyable, le moindre match de foot de 20.000 spectateurs peut donner lieu à des débordements parfois graves et violents de supporters bourrés ou de hooligans mais ce ne serait rien à côté d'un spectacle de Dieudonné dans une salle moyenne de 900 places !

    C'est un truc horrible que de voir des gens agir au nom des droits de l'homme et les fouler au pied dés lors que cela ne va pas dans leur sens idéologique en alertant des préfets qu'ils ne fustigent même plus pour leur politique du chiffre à propos des sans-papier ou les brutalités policières ciblées..

    Quand ils ne servent pas de relais complaisants à l''idéologie sioniste, ils ont tout simplement une vision sanitaire de l'antiracisme. Eradiquer ceux qu'ils considèrent racistes comme des bactéries tueuses, comme des virus menaçants en invoquant une sorte de salubrité publique, en instrumentalisant les tribunaux, les maires et les préfets pour une campagne de vaccination idéologique. 

    Les organisations antiracistes qui attaquent Dieudonné agissent plus comme les ligues de vertu de l'ancien temps que comme des organisations respectueuses de la démocratie. Elles défendent une forme de censure au nom d'une je ne sais quelle moralité. Elles raisonnent de façon manichéenne en qualifiant de racistes tous ceux qui ne sont pas antiracistes. C'est bien méconnaître le problème du racisme en fait.

    Elles partiicipent sans l'admettre à un vaste nettoyage culturel destiné à promouvoir une idéologie moderne de l'identité européene: Mettre fin aux positions extrêmes et radicales qui pourraient conduire à une forme de totalitarisme.

    Une idéologie insidieuse mais assez consensuelle conçue au nom de l'enfantement par l'Europe des deux idéologies qui conduisirent à l'effondrement du vieux continent et d'une partie du monde : le nazisme et le stalinisme. Lutter contre une résurgence possible du nazisme, cela passe par une bienvillance vis-à-vis de l'idéologie sioniste. Lutter contre une résurgence possible du stalinisme, cela veut dire lutter contre les révolutionnaires.

     Cela explique parfaitement le fleurissement des idées à propos de l'existence d'un antisémitisme rouge brun, car on part du principe que si on remet en cause l'état démocratique, c'est qu'on est tenté, consciemment ou non, par une forme de totalitarisme, C'est une vision angélique de la démocratie!

    L'angélisme démocratique est même exploité comme une arme sans appel. On dit souvent qu'un pays démocratique est un pays qui protège ses minorités. Or que font certains états en se montrant plus que bienveillants vis-à-vis des représentants d'associations d'une communauté qui a beaucoup souffert en Europe?
    Celui qui s'oppose et critique cette mission protectrice, cette singularité voulue comme une expression de l'attachement des gouvernements à la démocratie, sera vu comm un extrémiste et un antisémite. Avec ça, avec une bonne com', on peut "fusiller" n'importe quel gus!

    On en arrive ainsi à un totalitarisme démocratique par consensus. Et c'est bien ce que les ennuis de Dieudonné mettent en évidence. Jean Bricmont en parle dans un article récent, et cite abondamment les attaques contre Dieudonné pour illustrer certaines dérives qui utilisent des amalgames pour arriver à leurs fins .

    Dans ces conditions, on comprend aisément que la liberté d'expression est déjà très encadrée. Même s'il l'avait voulu, au fond, Plantu n'aurait pas défendu la liberté d'expression de Dieudonné de peur de perdre la sienne par le scandale que cela aurait suscité. Et comme le propre de tout artiste c'est d'avoir un public, on le comprend. Il faut s'appeler Dieudonné pour se tirer une balle dans le pied et afficher un grand sourire..
     
    Alors, un homme public peut-il s'exprimer à propos de la liberté d'expression de Dieudonné? Non , malheureusement. Cela prouve que cette liberté d'expression est bien malade en France.

    Heureusement, un anonyme, un sans grade comme moi - et d'autres -  peut encore le faire et regretter d'avoir à le faire.

    Jusqu'à quand?

    SOURCE MILTON DASSIER 


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  • Exercice anti-aérien israélo-américain, le plus important jamais réalisé

    20/10/2009  
      
    L’entité sioniste et les Etats-Unis organisent à partir de mercredi leurs plus importantes manoeuvres anti-aériennes conjointes, a-t-on appris mardi de source militaire israélienne.
     
     Un millier d'hommes du Commandement américain en Europe et un nombre égal de soldats israéliens vont prendre part à ces manoeuvres baptisées "Juniper Cobra" qui se poursuivront jusqu'au 5 novembre, a précisé Tsahal dans un communiqué.
      
    Durant l'exercice, seront testés les batteries de missiles anti-missiles israéliens de type Arrow, ainsi que les systèmes américains de défense anti-balistique THAAD et Aegis (naval) et les systèmes anti-aériens Patriot et Hawk, selon les médias israéliens.
     
     L'objectif est de simuler des tirs de missiles à longue portée en provenance d'Iran, de Syrie ou du Liban et leur interception en vol, précise le quotidien Yediot Ahronot.
      
    "Selon l'hypothèse de travail de l'exercice, en cas de guerre, les Etats-Unis fourniront à Israël des systèmes de défense qui seront utilisés parallèlement au système anti-missile Arrow 2", mis au point par Israël avec un financement essentiellement américain, indique le journal.
     
    Par ailleurs, un ex- commandant adjoint dans le Commandement américain en Europe a déclaré au cours d’une conférence réunissant des bailleurs de fonds du Washington Institute for Near East Policy, des diplomates, des journalistes et des analystes, qui a eu lieu ce week-end à Washington, que « les États-Unis auraient du mal à ne pas participer à une frappe aérienne israélienne dans le cas où Tel-Aviv décide de frapper les installations nucléaires iraniennes.
     
    Charles F. Wald, a souligné qu’une frappe militaire sur l'Iran "pourrait faire reculer le programme d'armes nucléaires de la République islamique quelques années", ajoutant «qu'Israël ne peut pas le faire seul ».
     
    Et de noter : «Ils ont une armée formidable, mais pas assez puissante pour tenir pendant des semaines ou des mois  - avec des centaines de sorties par jour ».
     
    Wald a poursuivi que si «notre grand allié d'Israël», décide de prendre des mesures militaires pour empêcher l'Iran d'acquérir une arme nucléaire ", la pression montera chez nous pour soutenir Israël."
     
     Il a également critiqué l’administration américaine et le Pentagone pour ne pas consacrer suffisamment d'attention au programme nucléaire de l'Iran au cours des dernières années en raison de leur implication en Irak et en Afghanistan.
     
    Commentant les propos de l’ancien conseiller national pour la sécurité de président Jimmy Carter, selon lesquels les Etats-Unis abattront des avions de guerre israéliens s'ils tentent de survoler l'Irak pour attaquer l'Iran, Wald a affirmé : «La possibilité de cela, est de zéro - non, inférieure à zéro."
     
    Le mois dernier, Wald et  deux anciens sénateurs américains ont signé une pétition appelant le président américain Barack Obama, à commencer les préparatifs pour mettre en œuvre une option militaire contre l'Iran.
     
     «  Le but de ces préparations, écrivent-ils, serait non seulement de parvenir à la préparation militaire pour une telle option, mais de persuader Téhéran de la gravité des intentions de l'administration et de convaincre Israël qu'il ne faut pas agir seul ».
     
    De son côté,  l'ancien chef des renseignements militaires israéliens, le général (en retraite), Aharon Zeevi-Farkash, également présent à la conférence, a affirmé qu’ « une frappe  militaire américaine serait  beaucoup plus efficace qu’ une frappe militaire israélienne pour détruire le programme nucléaire de l'Iran: «Les États-Unis peuvent détruire la capacité nucléaire, et la guerre ne durera pas longtemps », dit-il.
     
    Il a ajouté, toutefois, que « les renseignements occidentaux ne savent pas grand-chose sur l'ensemble des sites nucléaires de l'Iran ».
     
     "Le régime de Téhéran ne cherche pas à se suicider", a –t-il déclaré, «Quand ils se rendront compte que nous sommes sérieux cette fois, ils ne voudront pas perdre leur régime».

    G.Houbballah

    SOURCE AL MANAR TV 


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