Si vous souhaitez trouver des informations pratiques sur l’IVG ou les coordonnées des centres pratiquant l’IVG, vous pouvez vous adresser à :
- à l’ANCIC (Association Nationale des Centres d’Interruption de Grossesse et de Contraception)
Durant la semaine du 21 au 27 janvier 2010 :
1 - Incursions dans les zones palestiniennes et agressions contre les civils palestiniens et leurs biens en Cisjordanie et dans la bande de Gaza
Jeudi 21 janvier
Incursion dans la région de Naplouse : vers 1h30 du matin, l’armée pénètre dans la ville de Naplouse, patrouillant dans les rues et forçant la porte de certaines maisons, et arrête deux Palestiniens : Usaid Khaled Salama, 19 ans, et ‘Abdul ‘Aziz Khalil Jebril, 23 ans.
Région de Ramallah : incursion dans le village de Nil’in, à l’ouest de Ramallah, vers 1h30, où elle arrête 3 Palestiniens après la fouille de leurs maisons : Ouissai Mohammed Nafe’, 19 ans, Barakat ‘Ali al-Khawaja, 32 ans, et Mustafa Rateb ‘Amira, 53 ans, qui fut arrêté afin de faire pression sur son fils, Rateb, 32 ans, pour qu’il se rende aux FOI.
Région d’Hébron : vers 2h du matin, les FOI entrent dans Beit Ummar, un village au nord d’Hébron, fouille des maisons et arrête 4 Palestiniens : Mohammed Mahmoud al-Slaibi, 25 ans, Jamal Ibrahim Ekhlil, 18 ans, Mohammed Muhaisen ‘Awadh, 32 ans, et ‘Allam Muneer Ebraighaith, 18 ans.
Durant ces raids, les FOI ont brisé la porte de la maison de Muhaisen ‘Awadh, et esquinté le mobilier. Elles ont également tabassé ‘Awdah, qui a pu constater par la suite qu’une somme de 800 NIS (nouveau shekel israélien, environ 153 €) avait disparu de la maison. Les FOI avaient encore violemment frappé ‘Alaa’ Mahmoud al-Slaibi, 16 ans, et son frère Ahmed, 19 ans, et endommagé un camion appartenant à Yousef Khudair ‘Awadh.
Région de Jénine : vers 16h, l’armée pénètre dans Deir Abu Da’if, un village au nord-est de Jénine et fouille certaines maisons.
Vendredi 22 janvier
Ramallah : incursion vers 2h30 dans Deir Nizam, au nord-ouest de Ramallah : arrestation de Mohammed Faraj al-Tamimi, 23 ans. Vers 17h, à nouveau dans Ni’lin.
Samedi 23 janvier
Hébron : vers 1h, incursion dans Beit Ummar à nouveau, et 3 arrestations : Hussein Ibrahim Abu ‘Ayash, 19 ans, Muhannad Khaled Abu ‘Awad, 20 ans, et ‘Eissa Mohammed ‘Awadh, 21 ans. Durant ces raids dans les maisons, les FOI ont obligé Diab Hassan ‘Allami, 24 ans, à sortir de chez lui, et elles sont restées pendant plus d’une heure à le frapper violemment.
Dimanche 24 janvier
Bande de Gaza : 00h15, les garde-côtes israéliens, ancrés au large de Beit Lahiya ont ouvert le feu sur des bateaux de pêche. Les pêcheurs ont du rejoindre le littoral. On ne dénombre aucune victime.
Ramallah : vers 1h30, les FOI entrent une nouvelle fois dans Nil’in, fouillent des maisons et arrêtent Rateb Mustafa ‘Amira, 32 ans. Les FOI avaient déjà arrêté le père d’Amira, 3 jours plus tôt, pour l’obliger à se rendre.
Lundi 25 janvier
Bethléhem : incursion vers 1h30 dans la ville de Bethléhem, où l’armée fouille la maison d’Hani Masalma, et arrête ses deux fils, Malek, 19 ans, et Mohammed, 17 ans.
Jénine : vers 2h30, incursion dans ‘Arraba, un village au sud-ouest de Jénine, avec fouilles de maisons et arrestations de 2 Palestiniens : Mohammed ‘Abdul Ghani Shquair, 22 ans, et Mansour ‘Abdul Khlaiq ‘Izziddin, 33 ans. Puis, vers 3h, dans le village de Qabatya, au sud-est de Jénine.
Tubas : vers 3h30, incursion dans la ville. Au même moment, dans le village de Tammoun, au sud de Tubas.
Mardi 26 janvier
Jénine : l’armée entre vers 3h du matin dans Jalboun, à l’est de Jénine où elle patrouille dans les rues pendant quelques temps et finit par se retirer. Pas de fouilles de maisons ni d’arrestations. Et vers 4h, incursion dans la partie sud de Jénine, même opération.
Mercredi 27 janvier
Naplouse : incursion vers minuit dans Burqa, au nord-ouest de Naplouse, fouilles de maisons et 5 arrestations : Muneer Jamal Saif, 18 ans, Nafe’ Ahmed Salah, 19 ans, Ashraf Rassem Hijja, 20 ans, Walid Yazid Daghlas, 18 ans, et Fadi Zaher Abu ‘Omar, 18 ans.
L’armée a également informé la famille de Saddam Ragheb Shraida, 19 ans, que celui-ci devait se rendre.
Hébron : dans le village de Dura, vers 1h30, au sud-ouest d’Hébron, l’armée fouille la maison d’‘Ammar ‘Aaref Oazzaz, 19 ans, et l’arrête.
Bande de Gaza : 05h00, même scénario que le 24 janvier.
Qalqilya : l’armée entre dans la ville de Qalqilya, patrouille dans les rues, arrêtant et contrôlant un certain nombre de civils palestiniens. Pas d’arrestations.
2 - Maintien du bouclage des TPO
Les FOI continuent d’imposer un siège serré sur les TPO et de sévères restrictions aux déplacements des Palestiniens, dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, dont Jérusalem-Est occupée.
Bande de Gaza
Mouvements des personnes et des biens aux postes frontière
Rafah International
Date | : | Détails |
---|---|---|
20 janvier | : |
2 Palestiniens sortent ; 3 autres rentrent. |
21 janvier | : |
2 Palestinians sortent ; 81 autres et le corps d’un patient décédé rentrent. |
22 janvier | : | fermé |
23 janvier | : |
10 Palestiniens sortent ; 21 autres rentrent. |
24 janvier | : |
5 Palestiniens sortent ; 23 autres rentrent. |
25 janvier | : | 3 Palestiniens rentrent. |
26 janvier | : | 2 Palestiniens rentrent |
Karm Abu Salem (Kerem Shalom)
Date | : | Détails |
---|---|---|
20 janvier | : |
83 containers d’aide alimentaire en provenance d’organisations humanitaires internationales et de denrées pour les commerçants, 105 tonnes de gaz domestique et 493 800 litres de fioul rentrent. |
21 janvier | : | 106 containers, 105,57 tonnes de gaz domestique rentrent. |
22 janvier | : | fermé |
23 janvier | : | fermé |
24 janvier | : |
72 containers, 95,49 tonnes de gaz domestique et 228 000 litres de fioul rentrent. 3 containers de fraises et 2 de fleurs sortent. |
25 janvier | : |
80 containers, 104,63 tonnes de gaz domestique et 142 100 litres de fioul rentrent ; 3 containeurs de fraises sortent. |
26 janvier | : |
100 containers, 84 tonnes de gaz domestique et 180 000 litres de fioul rentrent ; 1 container de fleurs sort. |
Al-Mentar (Karni)
Ouvert le 20 janvier pour 1 520 tonnes de céréales et 1 280 tonnes d’aliment pour le bétail, et le 25 janvier pour 1 360 tonnes de céréales et 680 tonnes d’aliments pour le bétail.
Beit Hanoun (Erez)
Date |
: : |
Patients |
: : |
Accompagn. |
: : |
Arabes d’Israël |
: : |
Ambassad. |
: : |
Presse |
: : |
Internat. |
: : |
Gazaouis |
: : |
Commerç. |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
20 janvier | : | 40 | : | 38 | : | 9 | : | 5 | : | 6 | : | 32 | : | 0 | : | 0 |
21 janvier | : | 33 | : | 34 | : | 19 | : | 11 | : | 1 | : | 74 | : | 11 | : | 3 |
22 janvier | : | 1 | : | 1 | : | 4 | : | 0 | : | 4 | : | 7 | : | 20 | : | 0 |
23 janvier | : | 0 | : | 0 | : | 0 | : | 0 | : | 0 | : | 0 | : | 0 | : | 0 |
24 janvier | : | 40 | : | 39 | : | 27 | : | 5 | : | 5 | : | 18 | : | 6 | : | 0 |
25 janvier | : | 53 | : | 48 | : | 3 | : | 3 | : | 5 | : | 25 | : | 9 | : | 6 |
Cisjordanie
Bouclage et restrictions sont toujours maintenus sur l’ensemble de la Cisjordanie.
Jérusalem : des milliers de Palestiniens de Cisjordanie et de la bande de Gaza ne peuvent toujours accéder à la cité. Les FOI ont installé des check-points tout autour et dans la cité. Les barrages sont encore plus hermétiques les vendredis, jours de prière, pour empêcher les Palestiniens de se rendre à la mosquée al-Aqsa. Et ceux qui tentent de contourner les barrages et se font prendre, sont violemment frappés par les policiers et les soldats de l’occupation.
Naplouse : dimanche matin, 24 janvier, les troupes positionnées au check-point d’Huwara, au sud de Naplouse, direction al-Quds, ont imposé des restrictions supplémentaires aux Palestiniens. Le mardi 26, idem sur le check-point de Za’tara, au sud de Naplouse.
Ramallah : sur les check-points de Jaba’ et Qalandya, au sud-est de Ramallah, restrictions supplémentaires, et contrôles prolongés, c’est-à-dire, des heures et des heures d’attente supplémentaires pour les Palestiniens. Durant cette semaine, l’armée a posé également des barrages volants en différents endroits pour arrêter les véhicules palestiniens et les fouiller. Le 26 janvier, mardi, l’armée a carrément fermé le check-point de Jaba, au sud-est de Ramallah, pendant une heure.
Jénine : le matin du dimanche 24 janvier, les FOI ont monté un barrage entre Rummana et Zabbouda, à l’ouest de Jénine, arrêts et fouilles des véhicules palestiniens. Le matin du mardi 26, nouveau check-point à l’entrée sud de Jénine. Mercredi 27, le check-point est remonté au même endroit et un autre sur la route Maithaloun-Sanour.
Bethléhem : le lundi 25 vers 13h, les FOI ont fermé le carrefour al-Nashahs, à l’entrée sud de Bethléhem, pendant une heure et demie, pour y arrêter et contrôler les véhicules palestiniens.
Hébron : les jeudi, vendredi et samedi 21, 22 et 23 janvier, les troupes israéliennes présentes dans les quartiers d’al-Ras et Wadi al-Hussain, dans le sud-est d’Hébron, ont imposé des restrictions supplémentaires à la circulation des Palestiniens, les arrêtant, les contrôlant et les interrogeant. De la même manière, l’armée sur le check-point à l’entrée de Beit Ummar, au nord d’Hébron, a monté la même opération.
Arrestations sur les check-points de l’armée d’occupation
Jeudi 21 janvier, vers 19h, l’armée postée à proximité de la mosquée Ibrahimi dans la vieille ville d’Hébron, a arrêté Isma’il Hawamda, 16 ans, du village de Sammou, au sud-ouest d’Hébron, prétendant qu’il portait un couteau.
Samedi 23, vers midi, arrestation d’Ahmed Hamza al-Kilani, 29 ans, et de Mos’ab al-Khatib, 27 ans, deux journalistes qui travaillent pour la télévision Al-Quds. Les deux journalistes préparaient un reportage télévisé sur le collège d’Ariel, dont le gouvernement israélienne a l’intention de faire une université agréée. Quand les agents de la sécurité des colonies israéliennes les ont vus, ils ont appelé les troupes stationnées au check-point de Za’tara, au sud de Naplouse. Et quand les journalistes sont arrivés, les soldats leur ont confisqué leurs caméras et leur carte d’identité et leur carte de presse. Ils les ont retenus et interrogé pendant un moment.
Dans son témoignage au PCHR, le journaliste Ahmed al-Kilani déclare :
« Vers midi, le samedi 23 janvier, mon collège, Mos’ab al-Khatib, et moi, nous trouvions près des colonies Taffouh et Ariel, en train de préparer un reportage télévisé pour la chaîne al-Quds, sur la transformation du collège d’Ariel en université. Aussitôt, des agents sécurité des deux colonies se sont approchés et nous ont demandé nos cartes d’identité et de presse. Ils ont appelé ensuite les soldats postés au check-point de Za’tara. Une jeep Hummer de l’armée est arrivée. Des soldats en sont descendus et nous ont ordonné de leur montrer les enregistrements vidéo et de les détruire, ce que nous avons refusé. Ils nous ont demandé nos cartes d’identité et de presse et ont confisqué nos caméras. Ils nous ont alors mis des bandeaux sur les yeux et passé les menottes. Nous avons été emmenés dans un véhicule de l’armée à un autre endroit. Pendant une heure et demie, ils nous ont interrogés sur ce que nous faisions. 10 minutes après les interrogatoires, ils nous ont ramenés au check-point de Za’tara où ils nous ont relâchés. »
Harcèlement sur les check-points militaires
Dimanche matin, 24 janvier, les troupes israéliennes ont agressé 10 travailleurs palestiniens dans le secteur de Za’im, près du mur d’annexion, à l’est de Jérusalem. Raji Hussein Salah, 26 ans, du village d’al-Khader au sud de Bethléhem, a été blessé à la bouche et souffre de contusions sérieuses multiples. Il a aussi perdu 6 dents. Les autres travailleurs souffrent d’ecchymoses sur tout le corps.
Selon les investigations du PCHR, le dimanche matin, des centaines de travailleurs palestiniens étaient rassemblées à environ 5 à 600 mètres du passage d’al-Za’im, à l’est de Jérusalem, voulant entrer dans la ville. Les troupes israéliennes patrouillaient dans le secteur et en chassaient tous ceux qu’elles y voyaient. Vers 4h30, elles ont encerclé 10 des travailleurs - la plupart étant du village d’al-Khader - qui se trouvaient sur une butte de sable à l’est du mur. Les soldats les ont obligés à s’asseoir et les ont durement frappés pendant plus de 10 minutes. Ils les ont emmenés ensuite dans une salle près du passage d’al-Za’im pendant environ 30 minutes, sans donner à Rani Hussein Salah, qui était blessé, les moindres soins. Ils l’ont relâché vers 7h30, et il pouvait difficilement se rendre à l’hôpital de Bethléhem. Les autres travailleurs ont été relâchés vers 13h30, le même jour.
3 - Construction du mur d’annexion
Les FOI poursuivent la construction du mur d’annexion à l’intérieur du territoire de la Cisjordanie. Durant cette semaine, et comme toujours, les FOI se sont servies de la force contre les manifestations non violentes organisées par les civils palestiniens, avec des internationaux et des défenseurs des droits de l’homme israéliens, pour protester contre la construction du mur.
Bil’in, à l’ouest de Ramallah : comme chaque vendredi, le 22 janvier, après la prière, les Palestiniens, des internationaux et des militants israéliens se sont rassemblés dans le centre du village puis se sont dirigés vers le mur, des pierres furent lancées sur les soldats positionnés dans la zone. Aussitôt, ceux-ci ripostèrent en tirant des balles caoutchouc, lançant des grenades assourdissantes et des lacrymogènes sur les manifestants dont des dizaines souffrent de l’inhalation des gaz.
Nil’in, à l’ouest de Ramallah : même jour, même heure, même manifestation des Palestiniens, internationaux et militants israéliens contre la construction du mur ; et même violence de l’armée d’occupation. L’affrontement avec l’armée a débouché sur des tirs et lancements de grenades par l’armée.
Al-Ma’sara, au sud de Bethlhémem : également ce vendredi, les Palestiniens et des internationaux ont manifesté contre la construction du mur dans le village. Les troupes avaient fermé l’entrée du village et a attaqué les manifestants. L’un d’entre eux a été arrêté, Sa’id Suleiman Braijiva, 60 ans.
Nabi Saleh, au nord-ouest de Ramallah : ce même vendredi, des Palestiniens se sont regroupés dans le secteur de Wad al-Raya, entre les villages de Nabi Saleh et Deir Nizam. Ils ont essayé d’arriver sur leurs terres agricoles, situées près de la colonie Halmish. Aussitôt, les soldats ont ouvert le feu. Mohammed Hassen al-Tamimi, 22 ans, a été blessé par une balle caoutchouc à la jambe gauche. L’armée d’occupation a également arrêté 4 civils, dont deux femmes : ‘Atallah Tamim al-Tamimi, 60 ans, Murad ‘Adul Karim al-Tamimi, 38 ans, Maha Hussein al-Tamimi, 31 ans, et Manal ‘Abdul Salam al-Tamimi, 33 ans.
4 - Colonisation et agressions des colons contre les civils palestiniens et leurs biens
En toute violation du droit humanitaire international, la colonisation se poursuit dans les TPO ainsi que les agressions des colons contre les Palestiniens.
Jeudi 21 janvier, vers 11h, les FOI se sont déplacées à l’intérieur du secteur de Lafjam, à l’est d’‘Aqraba, un gros village au sud-est de Naplouse, et ont présenté des avis à 6 agriculteurs palestiniens des familles Bani Monia et Bani Jaber, leur ordonnant d’évacuer leurs étables. Sinon, les FOI le feraient elles-mêmes, confisqueraient leurs troupeaux et forceraient les fermiers à en payer le coût.
Samedi 23, vers 15h, des colons de la colonie Brakha, au sud de Naplouse, ont envahi une fois encore le village d’Iraq Bourin, au sud de la colonie. Réagissant, des dizaines de Palestiniens se sont regroupés dans le nord du village pour empêcher les colons d’entrer dans le village. Aussitôt, l’armée d’occupation s’est mise à tirer sur les Palestiniens, blessant Mohammed ‘Essam Jaraj, 20 ans, d’une balle caoutchouc à la jambe.
Le même jour, des colons de la colonie Halmish, au nord-ouest de Ramallah, ont arraché 15 oliviers appartenant à Jameel ‘Abdul Qader Mezher, dans le village de Deir Nizam.
26 janvier, le mardi midi, des colons de la colonie Ma’oun, à l’est de Yatta, dans la région sud d’Hébron, ont envahi le village d’al-Twana, au prétexte de chercher un mouton leur appartenant. Les colons armés s’en sont pris aux villageois palestiniens, et l’armée est intervenue pour assurer la protection des colons. Elle a agressé aussi avec violence Mufdi Ahmed Reb’ei, 40 ans, qui souffre de contusions sur tout le corps.
Mercredi 27 janvier, dans l’après-midi, des colons se sont rassemblés dans la colonie déjà évacuée d’Homesh, au nord-ouest de Naplouse. Ils ont attaqué un fermier du village de Seilat al-Zaher, Yousef Mohammed Mar’ei, qui travaillait sur sa terre. Il souffre de contusions multiples. Les colons ont également balancé des pierres sur les véhicules palestiniens qui circulaient sur la route Jénine/Naplouse. Pas de blessés.
Document public
Pour plus d’informations, notamment les noms des victimes, merci de consulter le site (http://www.pchrgaza.org) ou de contacter le PCHR à son bureau de Gaza, par mel (pchr@pchrgaza.org) ou par téléphone (+972 (0)8 2824776 - 2825893).
Rapport hebdomadaire pour la période du 21 au 27 janvier 2010 : PCHR
traduction pour ce qui concerne Gaza : Jacques Salles, et la Cisjordanie, JPP.
Incroyable, cette affaire autour d'Ali Soumaré! Vous avez tous les détails sur les faits ici.
Incroyable, car on a l'impression d'un seul coup, de ne pas être dans le siècle 21ème!
Rappelez-vous, il y a un an, un homme métis, noir, était élu à la présidence des Etats-Unis.
Aux Etats-Unis, un pays qui pratiquait la ségrégation raciale il y a à peine 40 ans!
Lors de son élection, nombreux furent ceux, en France, qui saluèrent ce progrès et souhaitaient apporter l'amitié de la France à ce nouveau président.
Le discours d'Obama à Philadelphie sur les races est en fait un discours sur l'unité de la nation. Pour le président américain, une nation ne se résume pas à la somme de ses parties, elle constitue un tout qui la dépasse. Il ne cherche pas à définir ce tout comme tente de le faire le débat sur l'identité nationale en France.
Il laisse à chacun le soin de façonner son "rêve américain". Il rappella que son pasteur, ancien marine's, et d'une très grande générosité envers les faibles avait des idées radicales offensantes pour les blancs et offensantes pour les valeurs américaines. Il rappela aussi que sa grand-mère blanche, toute généreuse qu'elle sut être, avait une peur bleue des jeunes noirs qu'elle assimilait à des délinquants ce qui allait à l'encontre des valeurs américaines.
Obama ne stigmatisait ni les blancs racistes, ni les noirs identitaires. Il les considérait comme des américains dans des Etats-Unis qu'il fallait faire évoluer puisque le propre de n'importe quelle nation est de se transformer pour s'adapter au monde et à l'histoire en mouvement. L'existence d'une méfiance raciale et communautaire était ce qui justifiait ce besoin d'évolution. Mais une évolution qui ne rejette pas et ne laisse personne au bord du chemin pour une soi-disant incompatibilité!
Pourtant, en France, face à une crise qui fait mentir le candidat Sarkozy jusque dans ses promesses les plus faciles à tenir, depuis un an justement, les allusions racistes se multiplient comme si l'essentiel n'était plus de rassembler la nation mais son camp politique et idéologique en usant de la vieille ficelle électorale : celle du bouc-émissaire qui ne sait pas s'intégrer parce qu'il n'est pas d'ici!.. Certes, ce n'est pas du lourd à la Le Pen ou à la Frêche. Les caciques UMP ont la subtilité d'avancer par allusion et jouent ainsi sur l'ambiguïté.
Leur racisme est un mélange détonnant de racisme social, de paranoïa sécuritaire, de xénophobie et de clichés colonialistes.
La phrase du maire de Franconville fait référence à un homme jeune, noir et musulman. Son nom évoquerait, selon le maire UMP, celui d'un joueur du PSG mais de l'équipe réserve. Le mépris racial dans toute sa splendeur et on nous fait le coup à l'identique de ce que disaient Alain Finkielkraut et Georges Frêche quand ils parlaient du trop grand nombre de noirs dans l'équipe de France de football.
Les noirs et les maghrébins ne seraient bons qu'à jouer au football, à être des sportifs. Pas assez intelligents et cultivés pour être autre chose alors!
Racisme social car Ali Soumaré est très impliqué dans la vie associative de Villiers-Le-Bel, une ville de racailles pour beaucoup de militants UMP.. D'ici à considérer que le PS dans le Val d'Oise a choisi une racaille comme tête de liste, il n'y a qu'un pas que chaque sympathisants UMP assistant au meeting, franchira allègrement dans sa petite tête. Les rires après les mots du maire, en seront la preuve..
Dommage, vraiment dommage. Hormis l'Allemagne et le Japon, les pays du monde qui ont le vent en poupe aujourd'hui sont multiculturels. Les crises identitaires, les tensions raciales existent aussi dans ces pays mais ne les freinent pas. La jeunesse est là, valorisée pour prendre le témoin de l'essor économique.
La France a bien du mal avec sa diversité qui compose une grande partie de sa jeunesse. Elle vieillit mal. Elle radote, bougonne, se ferme, se plaint d'aigreurs à son identité, ne voit pas ses trous de mémoire. Pour moi, ça pue le vieillissement avec déclin physique et cognitif. Les futurs retraîtés français devraient se rappeler qui va cotiser pour payer leur retraîte au lieu de bougonner sur cette jeunesse basanée qui leur fait horreur...
Cette diversité pourrait être une de ses valeurs ajoutées sur sa présence et son influence dans ce monde en mouvement mais cela, elle ne l'envisage pas.
On attendra donc longtemps en France ces "ambassadeurs" capables de négocier, décrocher et obtenir des contrats, des licences d'exportation, des accords de coopération, de faire investir des entreprises françaises dans des pays où la connaissance de la culture locale constitue un avantage face aux pays concurrents.
Je suis sûr qu'à compétence égale, un dirigeant d'entreprise français parlant parfaitement arabe et de confession musulmane obtiendrait plus de résultats avec les autorités et entreprises des pays du Golfe Persique qu'un dirigeant français de souche peu familier de ces pays.
Je suis sûr qu'on forme mieux des spécialistes étrangers dans un domaine donné si on est un français qui a des "racines" culturelles de leur pays.
La Grande-Bretagne a mieux compris cela. Grâce aux élites de sa communauté chinoise, elle obtient des accords et des contrats en Chine. Grâce aux élites de sa communauté indienne, elle signe des accords avec l'Inde. Grâce aux élites de sa communauté africaine, elle coopère bien avec le Nigéria et le Kenya sans néocolonialisme à la française qui étouffe.
La France, elle, préfère le tape-à-l'oeil des lambris dorés et des cadeaux clinquants et coopère par exemple en Afrique, à l'aide de réseaux d'influence et de corruption issus de la décolonisation.
Si elle continue ainsi, La France perdra peu à peu son rôle international. D'ailleurs, la Chine est en train de prendre pied en Afrique.
On ne peut prétendre rayonner sur une bonne partie du monde avec un esprit aussi fermé à la diversité du monde qui existe chez soi. Avoir l'esprit fermé, n'est-ce pas ce que signifient des propos comme ceux de ce maire UMP de Franconville qui s'ajoutent à ceux d'autres responsables de ce parti et parfois aussi, mais plus rarement, du PS?
Enfermer son esprit à double tour dans des clichés d'un autre âge, témoins de la persistance dans les têtes d'injustices passées, c'est perdre de la lumière. Alors, les yeux ne voient plus que des ombres terrifiantes qui justifient encore plus de verrouillage et encore moins de lumière.
Les morts se sentent en sécurité dans leur cercueil.
Crédits : Dessin Benoit Nonneret -pileface.com
Si vous vous trouvez en situation de grossesse non désirée, vous avez peut-être cherché sur internet des informations qui pourraient vous aider.
Soyez prudentes, les filles !
Quand on se rend compte qu’on est enceinte, ou qu’on craint de l’être, on peut paniquer : mineure ou majeure, on se prend un sacré coup de stress et on ne sait pas trop quoi faire, là tout de suite.
Du coup, on peut aller chercher des informations sur le web. Et là, c’est risqué.
Il faut savoir que l’avortement est un sujet qui donne lieu à beaucoup de débats, de conflits : des gens militent très activement dans un sens ou dans l’autre. On trouve ceux qui sont « pour » l’IVG et ceux qui sont « contre ».
En France, chacun est libre de s’exprimer et de défendre ses convictions. Certains militants se regroupent en associations et montent des sites internet afin de partager leurs opinions. Parfois ils tentent de convaincre les visiteurs de leur site, et de les amener à penser comme eux. C’est leur droit, et leur démarche doit être respectée.
Mais certains sites vont encore plus loin. Ils veulent vous influencer dans votre choix alors que vous êtes enceinte ou que vous craignez de l’être : ils donnent un numéro où on peut les joindre (un numéro vert par exemple, donc gratuit) et vous proposent de vous écouter, vous conseiller, pour vous aider à prendre votre décision.
ATTENTION : certains de ces sites n’ont aucune compétence pour vous aider ! Ils ont une opinion déjà toute faite sur l’IVG et veulent simplement vous amener à prendre la décision qui colle à leurs croyances ou convictions.
Les personnes qui agissent sur ce genre de sites ne sont pas qualifiées pour vous aider, et elles risquent de vous influencer dans un sens ou dans l’autre (avorter ou non).
Comment repérer ces sites qui vous manipulent ? Quelques indices qui doivent vous mettre la puce à l’oreille :
- Vous trouvez beaucoup d’articles très détaillés sur l’IVG, mais tous semblent aller dans le même sens. C’est-à-dire que sur un site qui est « contre » l’avortement, vous lirez des choses qui vont TOUTES vous expliquer que l’IVG n’a en gros QUE des conséquences négatives.
- On vous parle beaucoup de l’adoption de votre « bébé », on vous explique vous avez tort de flipper, que tout va s’arranger, que vous dramatisez, qu’en fait vous êtes un peu fière d’être enceinte, quand même…
- Vous trouvez des études détaillées sur l’IVG, des statistiques, mais qui viennent d’autres pays. Rien venant du ministère de la Santé, rien de médecins français… Et toutes les infos semblent vous dire que l’IVG c’est vraiment mal…
- On vous explique ce que prévoit la loi, mais à moitié seulement… Par exemple, on vous dit qu’il est illégal de forcer une femme à avorter, ou de faire pression sur elle. Mais on ne vous dit pas que l’inverse est également illégal, à savoir faire pression sur une femme pour l’empêcher d’avorter (voir l’article sur les dispositions légales en matière d’IVG).
- On ne vous donne pas les liens vers les organismes compétents (planning familial, INPES, ministère de la Santé, etc)
- On vous décrit uniquement les conséquences négatives de l’avortement.
- On peut aller jusqu’à vous montrer des photos pour vous influencer.
- On appelle votre foetus « le bébé », et on vous appelle « future maman ».
- Globalement, sur ce genre de sites, on vous fait culpabiliser.
Où s’informer alors ?
Uniquement en se tournant vers des professionnels : ils sont qualifiés, tenus au secret, et sauront vous orienter : le planning familial est là pour ça. Personne n’a le droit de vous dire d’avorter ou non.
Non, ça ne va pas se résoudre tout seul et oui, vous avez une décision à prendre. Mais c’est VOTRE décision. Vous avez le droit d’être informée correctement pour la prendre en connaissance de cause, et la loi vous autorise à prendre cette décision vous-même et à garder le secret si vous le désirez. Même si vous êtes mineure.
Ne vous laissez pas manipuler, mais informez-vous correctement, adressez-vous aux organismes compétents :
Si vous souhaitez trouver des informations pratiques sur l’IVG ou les coordonnées des centres pratiquant l’IVG, vous pouvez vous adresser à :
- à l’ANCIC (Association Nationale des Centres d’Interruption de Grossesse et de Contraception)
Greenwashing est un terme anglophone pouvant être traduit par "verdissement d'image". Le greenwashing consiste à mettre en avant les efforts d’une entreprise en termes de développement durable et de protection de l’environnement, alors même que ces efforts ne sont pas réels, ou moins avancés que ce qui est prétendu en termes de communication. Le greenwashing est donc surtout présent dans les publicités mais il est également utilisé pour désigner le rapprochement d'une entreprise avec l'ONU dans le cadre du Global Compact (Pacte Mondial en français). Avec ce pacte, les entreprises s’engagent à aligner leurs opérations et leurs stratégies sur dix principes universellement acceptés touchant les droits de l’homme, les normes du travail, l’environnement et la lutte contre la corruption.
Comment ça marche ?
Les slogans des publicités utilisent des mots ou des expressions qui évoquent la protection de l’environnement et le développement durable. Il s’agit de faire naitre un lien entre le produit et la nature dans l’esprit du consommateur.
Les images et les photos des publicités représentent des paysages naturels et préservés, ou des animaux sauvages, qui incitent le consommateur à associer le produit mis en vente avec la protection de la faune et de la flore.
Une marque qui fait du greenwashing suggère que ses produits sont bénéfiques pour l’environnement, ou qu’elle fait des efforts en ce sens, même si ce n’est pas vrai.
Le greenwashing peut aussi consister à faire un focus sur un point particulier du produit donnant à penser qu’il protège l’environnement. Il laisse généralement des zones d’ombre sur les procédés de fabrication ou des éléments de composition moins reluisants ou moins attractifs.
Qui l’utilise ?
Il n’existe pas de généralité, bien sûr, mais globalement plus le produit vanté est polluant, plus le greenwashing peut être présent, à titre de compensation. De ce fait, l’industrie automobile abuse du greenwashing en mettant en avant une consommation et des émissions faibles, l’utilisation de matériaux recyclés, de biocarburants…
Quelles en sont les conséquences ?
Lorsqu’une entreprise dépense plus d’argent pour faire de la communication verte que pour faire évoluer se méthodes, elle induit le consommateur en erreur de manière intentionnelle. Mal informé, le consommateur peut être amené à faire les mauvais choix, encourageant ainsi la poursuite de ces pratiques, au détriment de la protection environnementale et des entreprises respectueuses de l’environnement.
Que peut-on faire ?
L’éco-consommateur doit rester vigilant quant aux sirènes vertes des publicités de produits polluants. Il lui incombe de s’informer au maximum sur les produits consommés. Toute publicité qui camoufle des éléments, qui utilise des arguments douteux, mensongers ou invérifiables, doit l’alerter. Face à publicité mensongère ou inexacte, des sites vous permettent de porter plainte pour faire cesser ces pratiques. Il est également important de prêter attention aux labels, à la composition des produits, à leur provenance, ainsi qu’à leur mode de consommation.
Source : Greenzer
Pour y voir clair, examinons quelques récentes campagnes se positionnant dans l'axe «écologique». Pour se faire nous nous baserons sur 5 critères (voir Greenwashing.com) déterminant si oui ou non cette publicité est une mascarade écologique :
1.La pub jongle avec les mots afin de nous faire croire en un aspect écologique qui en réalité n'est pas.
2.La pub utilise des images associées à l'environnement dans le seul but de paraitre écologique.
3.La pub présente un fait ou un slogan flou nous laissant croire à un bénéfice environnemental.
4.La pub exagère la qualité ou le rendement écologique de son produit/entreprise.
5.La pub camoufle des faits importants instaurant le doute et la confusion chez le consommateur.
Par Mademoiselle le 28/01/10, 16:09 - Le privé est pathétique
Il y a quelques jours, nous apprenions via un commentaire laissé ici par l'auteur du blog i'm so excited que le nom de domaine http://www.ivg.net/ avait été acquis par des militants anti-ivg. Il ne s'agit pas de sombres excités mono maniaques, reconnaissables à des kilomètres, puisque le site a une allure très officielle et très respectable. Avec un nom de domaine pareil, c'est une véritable autoroute qui a été construite entre eux et les femmes qui se renseigneront sur internet pour entamer leur démarche d'IVG.
Gaëlle-Marie, du site Zone Erogène, avait immédiatement relayé l'information, estimant que :
"il y a une différence entre défendre une conception théorique et "déguiser" un site en un simulacre d'officine institutionnelle comme l'a fait l'association qui possède ivg.net (numéro vert, appellation "centre national d'écoute", etc...) afin de drainer et tromper un public potentiellement cible d'actions orientant une décision concrète : choisir ou non d'opter pour une IVG, là, "en vrai"."
Elle a donc voulu réagir plus encore, je vous fais parvenir les détails de sa réflexion et de son action.
La loi nous donne ce choix. Et je refuse que ce choix soit volé aux femmes et jeunes filles (souvent vulnérables dans ces situations "à chaud") par le biais de procédés dolosifs. Comme l'a très justement dit un commentateur chez Entrailles, l'idée est "d'éviter à des gamines paumées de faire un mauvais choix sous l'influence d'une autorité usurpée".
Après le coup de gueule, voici donc mon action concrète : l'association possédant le nom de domaine ivg.net sur lequel est installé ce site pro-life a également acheté le nom de domaine sos-ivg.com. Ils ont par ailleurs fait du référencement efficace et sont bien présents sur google.
Recherches faites, j'ai constaté que les noms de domaine sos-ivg.fr et sos-ivg.net n'avaient pas été achetés. Je les ai donc acquis pour mon propre compte et je suis en train de monter un petit site.Mon projet est tout simplement de fournir de l'info fiable et neutre sur l'IVG.
Je donnerai sobrement sur le site des infos légales en matière d'IVG, et informerai les lectrices sur leurs droits. Je n'entrerai jamais dans un débat d'idées relatif à l'IVG et ne vise pas un contenu rédactionnel volumineux. Je me contenterai de fournir des informations pragmatiques et de mettre à disposition immédiate les liens d'organismes compétents habilités à les informer, les conseiller et les soutenir dans leur choix quel qu'il soit.
Pour lancer et diffuser largement ce site, afin de lui conférer une présence efficace sur le web en plus de mon travail de référencement, je fais donc appel à votre puissance de propagation : seule, je suis allée le plus vite possible et le site n'est largement pas terminé, mais là, j'aimerais aller plus loin et avec vous. L'idée, ce n'est donc pas de faire "de la pub" pour ce site (lui donner une étiquette pro-choix ne lui rendra pas forcément service) mais simplement de le propager tel un sous-marin. La semaine dernière j'ai fait un peu de bruit sur ivg.net pour préparer la parution de mon article (je voulais qu'il soit lu et pas qu'un peu), là pas de buzz, pas de pub. Simplement de la propagation.
Le site n'est pas encore tout à fait prêt, il reste pas mal de boulot : modifications graphiques, préparation de quelques articles courts et insertions des liens manquants, mais parlez-en, diffusez, essaimez, linkez...
Que celles et ceux qui souhaitent participer à la vie de ce site me contactent sans hésiter.
Si vous pensez à des liens que je n'ai pas encore insérés, n'hésitez pas non plus à me les signaler.
Le site est accessible à l'adresse suivante : http://www.sos-ivg.net (ou .fr)
Merci à toutes et à tous pour votre aide !
http://www.zonezerogene.com
Nous nous faisons le relais de cette initiative, parce que la voix des anti-IVG est d'autant plus forte que notre silence à nous est trop souvent, au sujet de l'IVG, assourdissant.
Et histoire de compléter le tableau, une information de dernière minute, parue dans le journal suisse "Le temps".
Les anti-avortement s’attaquent à son remboursement
A défaut de revenir sur la dépénalisation de l’interruption de grossesse, les milieux anti-avortement ont lancé mardi une initiative populaire pour supprimer la prise en charge par l’assurance maladie de baseLe comité «Financer l’avortement est une affaire privée – Alléger l’assurance maladie en radiant les coûts de l’interruption de grossesse de l’assurance de base» est composé de représentants de l’UDC, du PDC, des partis protestants PEV et UDF, mais aussi du PLR (les conseillers nationaux nidwaldien Edi Engelberger et thurgovien Werner Messmer).
Devant la presse, Peter Föhn (UDC/SZ) et Elvira Bader (PDC/SO) ont reconnu s’être lancés dans la bataille sans attendre l’aval de leur partis respectifs. Pour eux, il s’agit avant tout de mobiliser à large échelle. Les deux conseillers nationaux sont convaincus de pouvoir rallier par la suite leur formation à leur cause.
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