De Washington à Paris, la haine plus forte que la justice !
Le 28 juillet dernier, Léonard Peltier avait été longuement entendu dans le cadre de sa demande de libération conditionnelle.
Son agent de liberté conditionnelle, ainsi qu'un membre d'une communauté indienne du Dakota du Nord avaient également pu prendre la parole. Ce dernier avait notamment déclaré avoir un emploi de professeur d'art dans un collège de la communauté pour lui. De plus, une maison a été mise à sa disposition.
Rappelons que le militant amérindien est détenu pour le meurtre de deux agents du FBI en 1975, mais qu'aucune preuve formelle de sa culpabilité n'a jamais pu être apportée au dossier.Lien ici
Pourtant, le 21 août, Léonard Peltier s'est vu refuser cette liberté conditionnelle.
Emprisonné depuis 1977, il ne pourra plus introduire de demande avant juillet 2024. Il aura alors 79 ans.