
"Dans les années 70, Hara Kiri vendait jusqu'à 200.000 exemplaires par mois, parfois avec des unes totalement débridées. Pourtant, à l'époque, la censure était folle (...) Aujourd'hui, la situation est pire: bien que la censure soit plus souple, la presse satirique se condamne elle-même à une forme d'autocensure. L'enjeu est là: faire dynamiter ce glissement inconscient et général vers l'auto-censure. Et recréer un journal qui explore les frontières... quitte à finir au tribunal pour défendre cette utopie".
La dernière page dessinée par Flavien indique qu’on ne peut pas s’abonner mais que Zélium a décidé de confier son destin, tout son destin, aux kiosquiers, des gens essentiels pour faire vivre la presse.
La 4 de couv.