De désinformation.
S'il faut en croire, le quotidien, la fermeture de 34 stations de radio au Venezuela serait une atteinte à la liberté d'expression dans le pays.
Comme d' hab', l' info reste dans le flou. Ainsi:
Les organisations de défense des droits de l'homme accusent le président Chavez de resserrer son contrôle sur les médias afin d'étouffer toute voix dissidente.
lesquelles?
Jose Miguel Vivanco, responsable "Amériques" de l'organisation Human right watch, s'inquiète d'ores et déjà d'une "terrible regression de la liberté d'expression". Carlos Lauria, du Comité de protection des journalistes, basé à New York, considère pour sa part le projet de loi comme une "réminiscence des jours les plus sombres des dictatures sud-américaines avec son cortège de dispositions archaïques visant les soi-disant crimes médiatiques".
Ah! bien! Là, on en sait un peu plus! Mais ce sont des gens qui défendent leurs professions, et basés chez les yankees, dont on connait le grand amour porté au pays bolivarien.
Donc, notre quotidien ne nous donne pas toutes les données. Ou plutôt, s'appuie sur le quotidien espagnol El Pais, pour en savoir plus.
Ces fermetures "administratives" interviennent au moment où le gouvernement prépare une série de réformes visant selon lui à "démocratiser" un secteur encore aujourd'hui très concentré. Cette nouvelle loi punissant les "crimes médiatiques", à laquelle le quotidien espagnol El Pais consacre un dossier, devrait être adoptée avant la fin de l'année. Cette nouvelle législation sanctionnerait les propriétaires de stations de radio, de chaînes de télévision et de journaux accusés d'avoir tenté de "semer la panique" ou encore "troublé l'ordre social". Les médias qui "manipulent les informations en vue de propager une perception erronée des faits" sont également dans la ligne de mire.
Ah! une perception erronée des faits! Et c'est là que le Monde se prend les pieds dans le tapis, car que nous propose-t-il d' autre qu' une perception erronée des faits?
Pourquoi aucun papier d' un journal venezuelien ne vient argumenter la thèse du quotidien français?
Alors qu' il est si facile d' y avoir accès.http://notiven.com/
Pourquoi un article polémique ne nous donne-t-il pas les deux arguments des parties en cause en nous laissant décider par notre expertise citoyenne de la validité des arguments?
Pourquoi suis-je obligé de faire le boulot du journaliste ?
Nous prendrait-on pour des cons? Des moutons en transhumances aoutiennes? Des demeurés?
Voici la traduction de l' article d' El Universal :
"Celui qui n'essaie pas d'utiliser le media pour la violence et pour la guerre il(elle) n'a pas de quoi se préoccuper. Je crois que c'est nécessaire et n'a rien à voir avec la censure. Il(elle) doit assumer la responsabilité des conséquences de ses actes", a dit le ministre dans une conference de presse. MDE
Mais quelle est cette guerre et cette violence dont parle le ministre?
C'est evidemment la violence et la guerre que les puissances du $ exercent pour faire plus de profit et jeter les gens dans la misère pour rémunérer les actionnaires...Non seulement, elles pompent le pognon public pour se renflouer, elles jetent les gens dans la rue, mais encore comme les banksters yankees, elles provisionnent des primes abracadabrantesques, pour ses serviteurs et zélateurs en costumes brouillés.
Journalistes, garde à vous!!! un seul monde est possible, une seule pensée, unique, n' est-ce pas le début du fascisme?
publié par samtelam (libre panseur)
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