• Au cours des dernières semaines, après avoir lu et vu beaucoup d'information sur Dieudonné et tout ce qu'on lui attribue à lui et au Parti Anti-Sioniste, sur la Saga Coderre et certains commentaires d'internautes, et sur bien d'autres sujets, j'ai pu constater que la médiocrité des raisonnements vendus par nos médias par l'entremise de quelques hommes ou femmes d'affaires, politiciens, scientifiques et artistes, est omniprésente et en premier plan. De plus, on se permet depuis quelque temps, de faire le procès des gens sans en inviter les principaux concernés et de leur donner la parole, sur les mêmes tribunes utilisées pour les diaboliser. Chose qu'on n'aurait jamais vu il n'y même pas 20 ans. Maintenant, aujourd'hui, on pratique l'indécence au grand jour sans honte ni retenue afin diffuser une pensée unique dépourvue de logique et d'intelligence.

    La performance est-elle la capacité à atteindre un but réel, ou bien la capacité à remplir les attentes des supérieurs? Pourquoi les flics ne sont-ils pas contents lorsqu'ils s'aperçoivent qu'une enquête abouti à la conlusion qu'un suspect est innocent, plutôt que de s'acharner sur lui? Pour connaître la vérité sur une affaire, il faut être transparent et effectuer une enquête exaustive au lieu de tenter par divers moyens légaux et immoraux d'inculper un suspect même si on le sait innocent. C'est certain que des milliers de criminels parcourent les rues, et ça arrange bien du monde, (peut-on les appeler du monde?) et comme il faut jeter de la poudre aux yeux au public qui se croit libre, on enferme des innocents, des collabos et des vrais coupables, tout dépendemment du crime qui a été commis.

    La police se rentabilise au crime et aux infractions, sans crimes ni infractions, un corps policier ne peut survivre, c'est comme ça que ça marche, exactement comme l'argent-dette: s'il n'y a plus d'emprunteur, il n'y a plus d'argent créé. Faites l'exercice avec d'autres services publics ou privés et vous vous rendrez compte que c'est un pattern qui vient et revient ici et là. Prenons les assurances.. Ah les assurances, que ferait-on sans elle lorsque nous sommes dans le trouble jusqu'au cou? Et si nous n'étions que rarement dans le trouble, y aurait-il autant d'assureurs? Les assurances seraient-elles un service gouvernemental? Et encore là, ça ne changerait pas grand chose aujourd'hui, en parlant de l'offre et la demande. Le public étant acheté par le privé, tout devient possible pour faire des profits avant tout.

    Les voitures d'autrefois, les télévisions d'autrefois, les divers appareils électro-ménager d'autrefois, étaient beaucoup plus 'résistants' que tout ce qu'on a aujourd'hui. Qui peut se vanter d'avoir le même 'objet' depuis 15 ans aujourd'hui? Oui il y en a mais ils sont rares. Que ce soit une voiture, une télé, un frigidaire, etc.. Cetains en ont depuis 40 ans, mais ce sont justement ces vieux appareils qui fonctionnent vraiment, et qui sont fabriqués pour fonctionner et performer. Et aujourd'hui nous avons droit à des appareils qui sont performants mais pour l'industrie, pas pour le public! Y aurait-il des géants aussi gros et bêtas (en rachetant des brevets pour les tenir loin du regard du public) aujourd'hui si nos appareils étaient performants, mais performants là! Pour le consommateur et non pour l'industrie!

    Microsoft ne serait pas aussi gros et avare si nous n'étions pas obligés et tenus de se mettre a jour aux 3 ans pour les ordinateurs, et aux quelques mois pour les logiciels dits gratuits mais dans lesquels il faut remplir une fiche comprenant des renseignements personnels! Aujourd'hui, nous vivons dans un monde forfaitaire, nous devons adhérer à ceci ou à celà, mais il faut adhérer aux services essentiels offerts et ne jamais essayer de trouver le moyen de combler nous-même ces besoins essentiels par des technologies tenues à l'écart comme l'énergie libre, les voitures électriques, la nourriture familiale (jardins, potagers, fromagerie, etc..)

    De plus, il faut se garder de dire son opinion lorsqu'elle va dans le sens contraire de l'opinion dite publique mais moi je la qualifierais plutôt d'opinion médiatisée au public. Réfléchissez un tout petit instant à la liberté d'expression. Est-ce faire preuve de respect de la liberté d'expression que de criminaliser et mépriser et même qualifier de négationistes et révisionistes ceux et celles qui justement, remettent en question bien des choses floues mais pourtant établies, afin d'aller vers la vérité, de s'accomplir en être humain authentique et non pas en marionnette au service d'une pensée unique? Il a fallu inventer ces mots, révisionistes et négationistes, pour satisfaire l'élite qui n'a pas besoin d'invention éthymologique pour être qualifiée parce que les mots menteurs, voleurs, profiteurs, conspirateurs, avares, etc.., existent déjà.

    Tout va dans le sens contraire du monde comme on dit au Québec. La performance est devenue la contreperformance (un terme beaucoup plus exact si on considère que la performance est rattachée aux fonctions et utilités du dit objet ou service performant, plutôt qu'aux retombées économiques.)

    Il en va de même pour nos politiciens.. Quand on aligne le fait que Jean Charest a reçu les distinctions de je-ne-sais-plus-trop-quel-honneur-de-quoi-au-juste en France avec sa 'performance' au Québec auprès des québécois, ça devient plus clair. Quand on patauge dans l'argent et qu'on est un 'influent générateur d'emprunts'(de tout type), on a de bonnes chances de pouvoir manipuler à sa guise les politiciens qui représentent officiellement le peuple d'une nation. Et celà ne date pas d'hier, déjà dans les années 60, 'on' parlait d'effacer les nations souveraines par le contrôle des corporations, ce qui inclut les banques privées et leur différentes sociétés et fondations.

      Et regardez notre beau système de santé qui fais ben du cash jour après jour sur le dos des gens malades et surmédicamentés. Il y a pourtant plusieurs solutions de traitements pour des maladies dites 'incurables' par notre beau système de santé, mais c'est comme les brevets d'inventions, y a aucune différence qu'allez-vous croire? Parce qu'il s'agit de notre santé, c'est différent? Une solution performante n'est pas un traitement qui guérit, c'est un traitement qui rapporte à l'industrie de la santé. Les malades, excusez l'expression, mais on s'en criss carrément, tant qu'ils demeurent malades et qu'ils achètent nos médicaments, on est en business.

    Et le fameux Projet Cartagène au Québec, la cerise sur le sundae.. On va se remplir les poches et on va tenir par les couilles tous ceux qui seront fichés. On va implanter toutes sortes de choses dans le corps humain pour lui faire croire qu'il est important à nos yeux, que sa santé est surveillée etc.. On va faire de ces humains, des êtres complètement dénaturés, implantés, contrôlés, de parfaits esclaves. Nous le sommes déjà tous en occident, des esclaves dans nos petites têtes. C'est ça la performance..

    Et puis voilà où ça nous mène en 2009, à une dépendance sociale à la techno-poubelle polluante (renouvelables plusieurs fois dans une vie), à l'inertie cérébrale, à l'oisiveté volontaire, à la nuisance pour autrui, à la paresse intellectuelle, à la dépendance à des téléromans, des bulletins de nouvelles et autres émissions abrutissantes.. La performance, comme la liberté d'expression, est à sens unique.

    Depuis combien de temps l'internet est-il accessible au public? Et pourtant, l'internet occupe encore et toujours la dernière place dans les choix du public pour s'informer, les J.E., J.T., les journaux et la radio sont encore en premier plan pour l'information et vient ensuite l'internet. On a vendu l'internet en disant que ça représente l'avenir des communications et du commerce. Même après 15 ans, les promesses ne se sont pas encore révélées. Et vous savez quoi? L'internet est performant. Performant pour le public, et non pour l'industrie des communications et du commerce. Voilà pourquoi même après 15 ans, il (internet) occupe toujours la dernière place dans les choix du public pour s'informer.

    Parce qu'étant performant pour le public, il est donc dangereux et les médias se doivent de le dénigrer en le qualifiant de niche à ragots dépourvu de crédibilité et tout le monde tombe dans le panneau. On dit au public de ne pas réfléchir, que ça ne sert à rien et que c'est même dangereux. On dit au public de croire et gober les infos des médias, parce qu'il n'a pas la capacité de faire un raisonnement logique et intelligent lui permettant de faire la part des choses en s'informant sur internet. Du mépris total envers le public.

    Voilà pourquoi l'internet sera bientôt un beau souvenir, tel qu'on le connaît. On s'apprête à l'assassiner et à le faire renaître sous un 'meilleur' jour. On dit qu'il sera payant, que les sites disponibles se compteront par milliers, plutôt que par millions. On dit également que pour publier un site web, il faudra payer mensuellement beaucoup plus cher, il faudra afficher de la publicité pour arriver à défrayer les coûts de publication. Bref, on cherche à faire de l'internet, une tentacule des médias traditionnels. On cherche à inféoder l'internet, lequel sera le reflet du tableau médiatique mondial. Toutes les grosses têtes blanches seront les principaux acteurs de ce nouvel internet.

    Voilà ce qu'on fait de la performance. Je pourrais en parler encore longtemps avec beaucoup d'autres exemples, d'autres applications de ce pattern. Prenons pour terminer, l'exemple de l'éducation. Pour ma part, j'ai grandi en me faisant remplir le crâne de mensonges du type : la technologie sert à apporter le confort, la facilité, la convivialité, l'utilité et la performance pour les utilisateurs. Et aujourd'hui je constate malheureusement que la technologie asservit les utilisateurs et les plonge dans un gouffre duquel il est très difficile de sortir, la technologie est une source de dépendance parce qu'elle régit la normalité de notre société, il faut suivre le courant pour être qualifié de personne normale. Autrement, vous êtes fichés et plus vulnérables socialement.

    Les jeunes élèves des écoles primaire de ma génération, ont grandi avec des idéaux propres à leur cheminement personnel, éducation et instruction. Les jeunes ont toujours un grand décalage avec les connaissances, les croyances et les idéaux de leurs parents. C'est normal en raison du système de l'éducation, mais est-ce normal humainement parlant? On va nous dire que le système veut évoluer et pour ce faire il doit changer. Oui il doit changer, oui il doit évoluer, je suis absolument d'accord. Par contre, lorsque les changements ne vont pas nécéssairement dans le sens de l'évolution et de l'amélioration, ces derniers ne font que répéter le pattern de la non-performance pour le public. Rappelez-vous qu'il y a les écoles publiques médiocres, et les écoles privées hors de prix, réservées aux bien nantis. Et chacun sait qu'aujourd'hui, être bien nanti représente beaucoup d'argent, considérant que le fossé entre les riches et les pauvres s'agrandit d'années en années depuis un siècle.

    Rappelez-vous l'eugénisme de nos dirigeants, en fournissant une instruction médiocre au public, on se garanti une sécurité, on élimine la menace. Plus les gens seront abrutis, plus ce sera facile de les éliminer ou à tous le moins, de les réduire à l'esclavage. Et pour briser le lien familial, pour étatiser les individus, on leur donne une instruction en perpétuel changement pour créer des différends entre parents et enfants qui forcément développent des sentiments d'incompréhension l'un envers l'autre et donc, des problèmes de communication. Et tout ça sans parler de la qualité de l'enseignement aujourd'hui, par rapport à celle d'il y a 10 ans, 15 ans, 20 ans, etc.. Il y a beaucoup d'information sur l'internet sur ce sujet.

    Voilà pour la performance aujourd'hui. Lorsqu'un politicien essaie de vous vendre une idée avec des beaux mots comme performance, intelligence, logique, écologique, économique, sachez qu'il use d'une manipulation des ces mots pour vous jeter de la poudre aux yeux. Faites l'exercice, vous le constaterez bien par vous-même. Plus rien n'est au service du public aujourd'hui. C'est plutôt le public qui est maintenant au service de tout. Le public est performant lorsqu'il a un pouvoir d'achat, voilà la seule et unique mesure de l'importance des individus aujourd'hui.

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  • Clotilde Reiss
    , âgée de 23 ans, a été arrêtée en Iran le 1er juillet au motif d'espionnage. De toute évidence, il s'agit d'une grossière manœuvre et d'une provocation des autorités de ce pays dont il est peu de dire qu'elles ne sont guère crédibles en matière de droits de l'homme.

    Aussitôt, et à juste titre, le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, puis le Président Nicolas Sarkozy, sont montés au créneau et ont exigé sa libération immédiate.

    Quelques jours avant, le 26 juin exactement, à l'occasion du troisième « anniversaire » de la détention du caporal Gilad Shalit, prisonnier de guerre, le même Bernard Kouchner publiait une déclaration officielle toute aussi nette :

    « Nous ne cesserons de le répéter : la libération immédiate et inconditionnelle de Gilad est une priorité pour la France. »

    Libérations immédiates et sans conditions de Clothilde Reiss et de Gilad Shalit, telles sont les exigences de la France.

    S'il est en prison, c'est qu'il devait et doit l'être

    Et pendant ce temps-là, un jeune franco-palestinien, qui ne portait pas l'uniforme d'une armée d'occupation, est, tout comme Clothilde Reiss, l'objet d'un emprisonnement totalement illégal. Il s'agit de Salah Hamouri, qui a été jugé par un tribunal militaire israélien d'occupation installé en Cisjordanie, un tribunal illégitime en son principe, sur la base d'un dossier vide bien que préparé par les services spéciaux israéliens.


    Salah Hamouri, lui, est laissé dans l'ombre. Pour lui, ainsi que le demande son
    Comité national de soutien, pas la moindre exigence de libération formulée par les autorités françaises. Pour lui : silence ! Pour lui : sentence ! Pour lui : prison ! Pour lui : rien !


    Et pourquoi ? Tout « simplement » parce que l'Elysée, tout comme le Quai d'Orsay, estiment qu'Israël est un Etat de droit et donc que, s'il est en prison, c'est qu'il devait et doit l'être.


    Circulez, il n'y a rien à voir ! On doit fermer les yeux sur l'attitude de cet Etat quand il occupe, et il occupe et colonise, des territoires qui ne lui appartiennent pas. On n'est pas dans le territoire israélien, là. On est dans une partie de la Palestine historique occupée depuis des années et des années par l'Etat d'Israël qui, de ce fait, est condamné régulièrement par les instances internationales.

    Uen audience pour sa libération le 28 juillet

    Salah Hamouri n'a pas tué quelqu'un ni dans ces Territoires ni à Tel-Aviv, par exemple, pas plus qu'à Jérusalem-Est occupée. Il n'a rien volé. Rien fait d'autre que de passer, de nuit en voiture, devant le domicile d'un rabbin extrémiste notoire. C'est tout. Et pour cela il a écopé de sept ans de prison par un tribunal militaire d'occupation. Il a aujourd'hui 24 ans.

    Cela fait quatre ans qu'il est en prison. Quatre ans sans que la France ne lève le petit doigt pour lui. Il est né du mauvais côté du mur - c'est le cas de le dire - et il présente un défaut majeur : il est français mais aussi palestinien. Et tout Palestinien, s'il n'est pas terroriste, est considéré comme potentiellement terroriste. De même ne dit-on pas que si tous les Arabes ne sont pas des terroristes, tous les terroristes sont des Arabes ?

    Pour mémoire 

    « il habite à Jérusalem-Est, dispose d’une carte d’identité dite "de Jérusalem" et il peut circuler. Ce jour-là, le 13 mars 2005, il allait en voiture avec des copains à Ramallah. Arrivés au "checkpoint" de Qalqiliya il présente ses papiers. Les soldats les consultent, puis le font descendre du véhicule et l’arrête sans aucune explication. Il est conduit aussitôt en prison. Ses parents ne savent rien, ils ne sont informés de rien mais ils ne le voient pas rentrer le soir.

    Salah ne sait pas pourquoi il est arrêté. Puis les accusations lui sont dévoilées: trois mois exactement avant son arrestation il est passé de nuit, en voiture, devant la maison sous surveillance absolue du rabbin Ovadia Yossef .»

    C'est ainsi que le fait d'être passé devant le domicile dudit rabbin a conduit les militaires à considérer qu'il avait l'intention de le tuer. Il ne l'a pas fait -ce rabbin est bien en vie et son parti Shas participe au gouvernement d'extrême droite de Netanyahu- mais il aurait pu le faire. C'est gros, non ? Eh bien la France ne demande pourtant pas sa libération.

    J'ai accompagné sa mère, Denise Hamouri, à l'Elysée, où un conseiller du Président - pas le Président qui était occupé - l'a reçue. Même son de cloche.

    Mais un véritable « os » se présente devant eux : outre la mobilisation qui entraîne des milliers de citoyens et d'élus, il se trouve que la loi, israélienne cette fois, stipule qu'aux deux tiers de sa peine exécutée, tout prisonnier politique palestinien peut « bénéficier » d'une remise de peine (une libération anticipée).

    Peu en bénéficient en vérité car « terroriste tu es, terroriste tu resteras ».

    Pour Salah Hamouri l'audience est fixée le 28 juillet. Il peut recouvrer la liberté au terme de la loi israélienne cette fois. Pour cela, il faut bien sûr une forte exigence de la France.

    La France va-t-elle continuer à dire : « Libération pour Clothilde ! », « Libération pour Gilad ! » Et dire aussi dans le même temps :

    « Salah Hamouri doit rester en prison car même s'il n'a rien fait, il aurait pu le faire et de toute façon il est Palestinien ! »

    Le « deux poids, deux mesures » n'est pas la justice. C'est la haine érigée en loi. C'est la loi du Talion qui est le contraire du droit.


    Et puis, au-delà de Salah, c'est aussi la cohésion nationale qu'on met à mal. Car c'est toujours du même côté que ça tombe. Tandis qu'« il pleut toujours où c'est mouillé ! ».

    Par Jean-Claude Lefort


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  •  

     

    Sondage réalisé par Israêl magazine. Edififant ! Tout comme les commentaires qui affirment sans rire qu'Israël ne doit compter que sur lui-même, qu'il est le bouc émissaire de la terre entière... A pleurer

    RESULTAT DU SONDAGE

    Le gouvernement Netanyahou attaquera-t-il l'Iran préventivement
     
    Oui : 94.49% (6742) 94 %94 %94 %
    Non : 3.42% (244) 3 %3 %3 %
    Ne sait pas : 1.65% (118) 1 %1 %1 %

    AVEC LES COM S.V.P


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    Thibault sur 2009-04-16 16:58:57
    Olmert n'avait pas le courage de prendre de responsabilités à cet égard. Il était trop préoccupé par ses malversations arrivant en justice. Espérons que Bibi fera ce qu'il faut pour assurer quelques décennies plus tranquilles à la région en détruisant les installations atomiques iraniennes. Tous les pays arabes applaudiraient. Ainsi que tous les individus non confits dans un angélisme pro-musulman coupable.


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    Therese D sur 2009-04-26 12:48:55
    Ni Bibi et ni tout autre gouvernement ne fera le grand pas sans l'accord tacite ou autre des Etats Unis et du quartet. En principe c'est en voie, mais ce serait un vrai désastre si Israël lève le gant tout seul, pas à cause de son incapacité de vaincre l'ennemi mais surtout politiquement. Israël aura besoin du support non seulement de l'Europe et des Etats Unis, mais aussi des pays Arabes qui se sentent menacés. A mon avis, le monde entier va devoir se liguer pour rayer ou plutôt remettre à plus tard la possibilité d'armement nucléaire par les pays arabes. Ce n'est qu'un sursis car il ne fait aucun doute que cette éventualité existe et qu'elle se perpétuera. La course aux armes nucléaires est un danger pour le monde entier et quand des dirigeants cinglés comme Ahmedinadjad sont les instigateurs, la menace est très sérieuse. Thérèse D.


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    Cohen Michel sur 2009-05-03 17:32:10
    Israel ne peut pas compter sur l'Europe qui fera tout pour essayer de detruire le projet,il ne faut pas oublier la derniere declaration de Chirac:a l'ONU qu'il vallait mieux discuter avec le fou.Lui et Olmert a mettre dans le meme Panier


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    jack sur 2009-05-11 19:25:27
    il me semble un peu naif de penser que israel à lui tt seul peut attaquer l iran en vue de detruire les sites nucléaires. Cette decision qui est lourde de consequences ne doit etre prise qu avec l assentiment des USA, mme si ils seront tres peu impliqués militairement. Quant à la situation geostrategique des pays arabes modéres, il y vas bien sur de leur interet que l etat d israel fasse le boulot. J e pense que le rechauffement diplomatIQUE IRAN/USA va reporter peut etre à jamais une attaque contre les sites nucléaires iraniens et que l on devra peut etre faire avec un IRAN nucléarisé (militairement aussi )


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    Nathanael sur 2009-05-16 20:14:22
    Je pense que ce qu'il manque a Israel, c'est un vrai chef. Un homme capable de dire a Obama que l'israel est la seul a décider de son droit de survivre. Qu'est ce que les Etats Unis peuvent faire? L'Israel est un puissance nucléaire et L'une des meilleure armée au monde, il serait bon qu'il aisse en tant que tel. Que l"israel attaque l'iran est possible, cela se fera avant 2010, année ou l'iran aura la bombe...


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    Thibault sur 2009-05-25 10:00:50
    La question est mal posée. Elle ne devrait pas être "Bibi attaquera-t-il l'Iran", mais "Bibi doit-il attaquer l'Iran". La réponse est évidemment "Oui !". Cela peut gêner Obama, mais Obama commence à comprendre que ce n'est pas lui qui gouverne l'Amérique au premier chef. C'est le Sénat.


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    madeleine sur 2009-05-27 18:29:28

    Je crains qu'Israël ne doive envisager seul une attaque contre l'Iran. En espérant que les US et l'Europe viennent le rejoindre dans son attaque. Hélas, les nations ont déjà montré leur lâcheté lorsque Hitler I a anéanti 6 millions de Juifs avant qu'elles se décident à entrer en guerre. Ces mêmes nations, à force d'hésitation prennent le même chemin aujourd'hui face à Hitler II. Fort des leçons passées, Israël ne doit pas hésiter mais il doit le faire non pas à coups de missiles mais avec une belle bombe (comme celles d'Hiroshima ou Nagasaki) de façon à donner une tannée à l'Iran dont il se souviendra longtemps, qui calmera par la même occasion les vélléités de guerre contre Israël des pays arabes. Il ne faut qu'Israël perde de vue qu'il s'agit de sa survie : c'est la sienne ou celle de l'Iran, une seule Shoah a déjà suffi, il n'y en aura pas une deuxième.


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    HAVILLAND sur 2009-06-07 21:33:26
    UNE INTERVENTION PREVENTIVE EST A MON AVIS INDISPENSABLE - ISRAEL DEVRA AGIR SEUL CELA AUSSI EST UNE NECESSITE - MAIS POUR EN ARRIVER A CE STADE IL FAUT UN VERITABLE HOMME D ETAT - ACTUELLEMENT DANS LE MONDE IL N Y EN A PAS - PEUT ETRE LE PREMIER MINISTRE ACTUEL ? ESPERONS CAR AVANT DE REPONDRE A OBAMA - IL Y A BEAUCOUP DE TRAVAIL A FAIRE SUR AUTRE CHOSE


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    alain sur 2009-06-14 12:29:03
    Les usa ont ouvert la voie en attaquant l irak , du fait de supposées armes de destructions massives.En iran l arme n est as supposée mais en devenir, israel n a donc pas d autre choix que d agir pour sa survie avec ou sans le soutien des usa.


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    yosef choam sur 2009-06-16 15:56:39
    C'est logique que ce soit Israél, personne n'a jamais rien fait pour nous, et quand cela est le cas c'est pour l'intérêt de clui qui le fait. Malheureusement Israél pour les nations reste le bouc émissaire. Alors Bibi aujourd'hui a tité leçon du passé te doit agir avant qu'il soit trop tard


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    Nimtadj Hedayat sur 2009-06-25 18:21:19
    Moi c'est très simple et je l'ai déja dit: pourquoi le Mossad n'a-t-il pas encore assassiné Ahminajab(jem'en fous s'il y a une faute)? Il ne faut pas chercher midi à 14 h.


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    simplesanstete sur 2009-07-07 01:20:16
    israel c'est vraiement Dr follamour!

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    la raison!! sur 2009-07-08 16:07:08
    C EST VRAI TUER TOUTE LA PLANET IL NE RESTERAS QUE VOUS ET VOUS SERAIT TRANQUILLE MALGRES VOTRE TRISTE HISTOIRE VOUS N AVEZ RIEN COMPRIS!!!!!
     
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  • Reporters sans frontières contre la démocratie vénézuélienne
    par Salim Lamrani

    Mondialisation.ca
    , Le 3 juillet 2009

    Reporters sans frontières (RSF) persiste et signe. Le 23 juin 2009, moins d’un mois après avoir rendu public son soutien à la chaîne de télévision putschiste Globovisión en répandant de nombreuses contrevérités sur la réalité vénézuélienne, l’association française tente de nouveau de tromper l’opinion publique à ce sujet1.

     

                RSF « redoute à brève échéance l’annulation de la fréquence hertzienne de Globovisión », en référence à la procédure engagée contre la chaîne le 16 juin 2009 et entérinée par le Tribunal suprême de Justice le 18 juin. L’organisation affirme que « le président Hugo Chávez a récemment averti que Globovisión quitterait les ondes faute de modifier sa ligne éditoriale […]. L’annulation de sa fréquence hertzienne marquerait le point d’orgue d’un véritable harcèlement procédurier, juridiquement contestable, contre la chaîne en raison de son contenu2 ».

     

                Puis RSF conclut : « Que la chaîne ne soit pas exempte de reproches n’enlève rien à la gravité du procédé. Il n’est pas digne d’une démocratie comme le Venezuela que le bon plaisir du chef de l’État décide seul de l’avenir d’un média. Débarrassé de Globovisión, Hugo Chávez disposera d’un espace télévisuel hertzien qui lui sera entièrement dévoué mais se prive d’un filtre médiatique, ce qui pourrait conduire à une radicalisation de l’opposition. Cette configuration est un revers pour le pluralisme et le débat3 »

     

                Tout d’abord, RSF essaye de faire croire que seule la « ligne éditoriale » extrêmement critique à l’égard du gouvernement démocratique d’Hugo Chávez serait la cause « d’un véritable harcèlement procédurier, juridiquement contestable, contre la chaîne ». Ensuite, elle affirme que la procédure engagée contre la chaîne est du fait du président Chávez4.

     

                Le mensonge est une nouvelle fois double. En effet, au Venezuela, seules la Commission nationale des télécommunications (Conatel) et la Justice ont le pouvoir de révoquer la fréquence hertzienne de Globovisión, uniquement en cas de violation grave de la Loi organique des télécommunications de 2000. Ce n’est en aucun cas une prérogative du pouvoir exécutif, contrairement à ce qu’affirme RSF5.

     

                Que s’est-il passé pour que la Conatel invoque l’article 171 de la loi organique des télécommunications, qui stipule que « quiconque aura utilisé les services de télécommunications, pour lesquels il a reçu une habilitation, dans le but de commettre des délits » sera sanctionné d’une révocation de la concession hertzienne, à l’encontre de Globovisión ? S’agit-il simplement du fait de « sa ligne éditoriale » comme l’affirme RSF6 ?

     

                La réalité est autre. Le 13 octobre 2008, le journaliste Rafael Poleo, directeur du quotidien El Nuevo País et de la revue Zeta, a lancé un appel à l’assassinat d’Hugo Chávez en direct sur Globovisión durant l’émission « Aló Ciudadano », en affirmant que ce dernier « finira comme Mussolini ». Voici la transcription exacte de son intervention :

     

    Rafael Poleo : « ... L’histoire se répète. Si l’on regarde la trajectoire de Benito Mussolini et celle de Chávez, ce sont les mêmes. C’est pour ça que je vous dis, avec inquiétude, qu’Hugo va finir comme Mussolini, pendu la tête en bas.

    Leopoldo Castillo : Vous ne pouvez pas dire cela, Poleo, ça pourrait être considéré comme une apologie du délit, ça peut être interprété, ça pourrait être une incitation.

    Rafael Poleo : …Moi, je le dis de manière préventive, fais attention Hugo, ne finis pas comme ton homologue Benito Mussolini, pendu la tête en bas, parce que toi tu ressembles à Mussolini et à Mussolini lors de l’étape initial du fascisme. Chávez c’est ça, parce que c’est une insulte au socialisme et au communisme de dire que Chávez est socialiste ou communiste, ce qu’il y a c’est que c’est plus simple et les gens ont déjà oublié au cours de l’Histoire ce qu’est le fascisme… Mais Chávez c’est un fasciste vieillot, Chávez c’est un fasciste7. »

     

                « Reporters sans frontières désapprouve sur le fond les déclarations de Rafael Poleo, mais estime qu’ils relèvent de la responsabilité de celui-ci et non de Globovisión ». L’organisation parisienne, loin de condamner de telles déclarations, se contente donc de les « désapprouver », illustrant ainsi clairement son caractère partisan en tentant de dédouaner la chaîne de sa responsabilité. Contrairement à ce qu’affirme RSF, la chaîne est responsable du contenu de ses programmes8..

     

                Dans quel pays du monde une telle instigation au crime serait-elle acceptée ? Que se passerait-il en France si la chaîne TF1 diffusait un message semblable à l’encontre du président Nicolas Sarkozy ? La justice interviendrait-elle ? RSF défendrait-elle de tels agissements ?

     

                Globovisión n’en est pas à sa première tentative de déstabilisation. Depuis 1998 et l’élection d’Hugo Chávez, elle a fait du dénigrement de la politique gouvernementale sa principale activité. Pis encore, en avril 2002, la chaîne avait activement participé au coup d’Etat contre Hugo Chávez en soutenant le putschiste Pedro Carmona Estanga. En décembre 2002, elle avait soutenu également le sabotage pétrolier orchestré par l’opposition qui avait coûté la bagatelle de 10 milliards de dollars à l’économie vénézuélienne. En mai 2007, Globovisión s’était déjà rendue coupable d’incitation à l’assassinat du président Chávez. En avril 2009, la chaîne a lancé un appel aux contribuables afin de ne pas s’acquitter de leurs impôts9.

     

    Les exemples pourraient se multiplier. Voici quelques messages transmis par Globovisión incitant les téléspectateurs à l’insurrection : « Nous devons sortir pour défendre notre pays, notre démocratie et notre liberté. C’est seulement ainsi que nous pourrons arrêter le régime dans son désir de nous réduire en esclavage », « Je veux lancer un appel ici à la classe ouvrière : ouvrez les yeux, je sais que vous êtes en train de les ouvrir, parce qu’il y a des protestations partout, mais ouvrez les yeux pour que cette protestation soit plus forte », « Ouvrez les yeux, ce gouvernement n’est pas démocratique », « Si on nous dit que ce gouvernement est autoritaire, est dictatorial, ou qu’il nous mène à l’échec, ce que l’on suggère aux gens c’est : on va renverser ce gouvernement ». « Nous sommes les adultes et nous devons virer ce dictateur pour nous enfants et nos petits-enfants10 ».

     

    Ensuite, Globovisión a multiplié les campagnes de dénigrement et les insultes en tout genre à l’encontre du gouvernement. Le 28 février 2004, la chaîne a diffusé une vidéo d’un discours d’Hugo Chávez mais a coupé le son pour le remplacer par des cris de singe et d’autres d’animaux sauvages, dans une claire référence raciste à la couleur de peau du président. Voici un autre florilège de déclarations typiques de la chaîne : « Les maires chavistes n’ont besoin que d’une pomme pour être des cochons », « N’importe quel âne bâté en sait plus sur le pétrole que Chávez », « Tu as ruiné le pays », « Les imbéciles ont voté pour Chávez », « Les chavistes ne pensent pas, ils braient », « PDVSA [l’entreprise pétrolière] est en faillite, les entreprises de base sont ruinées et le pays est militarisé. Que faire ? Se battre et plus encore », “Qu’attend-t-on pour agir ? Ca suffit », “La souveraineté agroalimentaire du pays est atteinte, parce que la production interne a diminué, il n’y pas de sécurité juridique ». Quel pays au monde accepterait de tels propos11 ?

     

    RSF a clairement fait un choix contre la démocratie vénézuélienne en prenant position en faveur d’une chaîne de télévision putschiste et en manipulant la réalité dans le but d’induire l’opinion publique en erreur. Mais cela n’est guère surprenant de la part d’une entité qui avait soutenu le coup d’Etat contre Chávez en avril 2002 et qui est financée par le National Endowment for Democracy, une officine écran de la CIA12.

    Notes

     

    1 Salim Lamrani, « Les mensonges de Reporters sans frontières sur le Venezuela », Voltaire, 19 juin 2009.
     
    (site consulté le 27 juin 2009).http://www.voltairenet.org/article160688.html

     

    2 Reporters sans frontières, « L’existence hertzienne de Globovisión est comptée : ‘Un remède pire que le mal’ », 23 juin 2009.
    (site consulté le 24 juin 2009).http://www.rsf.org/L-existence-hertzienne-de.html

     

    3 Ibid.

     

    4 Ibid.

     

    5 Ibid.

     

    6 Ley Orgánica de Telecomunicaciones, 4 juin 2001.
    http://www.analitica.com/BITBLIO/congreso_venezuela/ley_telecomunicaciones.asp
    (site consulté le 28 juin 2009).

     

    7 Youtube, « Chávez y Mussolini », 13 octobre 2008.
    (site consulté le 28 juin 2009).http://www..youtube.com/watch?v=Sgkeo0Dl3lk&feature=related

     

    8 Reporters sans frontières, « L’existence hertzienne de Globovisión est comptée : ‘Un remède pire que le mal’ », op. cit.

     

    9 Salim Lamrani, « Les mensonges de Reporters sans frontières sur le Venezuela », op. cit. ; Youtube, « Empleada de Globovisión hizo llamados implícitos a no pagar impuestos », 3 avril 2009. http://www.youtube.com/watch?v=CjN2sQ3QKK4&feature=related (site consulté le 27 juin 2009).

     

    10 Agencia Bolivariana de Noticias, « Aló Ciudadano y el lenguaje xenófobo, intolerante e instigador », 19 juin 2009.

     

    11 Ibid.

     

    12 Salim Lamrani, Cuba. Ce que les médias ne vous diront jamais (Paris : Editions Estrella, 2009).

      Salim Lamrani est enseignant chargé de cours à l’Université Paris-Descartes et l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée et journaliste français, spécialiste des relations entre Cuba et les Etats-Unis. Il a publié, entre autres, Double Morale. Cuba, l’Union européenne et les droits de l’homme (Paris : Editions Estrella, 2008). Son nouvel ouvrage s’intitule Cuba. Ce que les médias ne vous diront jamais (Paris : Editions Estrella, 2009) et comporte un prologue de Nelson Mandela.

    Contact : lamranisalim@yahoo.fr ; salim.lamrani@parisdescartes.fr


    Salim Lamrani est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca.

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  • C dans l'Air, l'émission de faux débats

    entre libéraux tous plus ou moins d'accord,

    faisant semblant de débattre.

    L'émission est là pour nous berner,

    pour expliquer et pour justifier la politique du Boss Sarkozy,

    ou pour préparer les esprits non seulement

    à "bien" voter,

    mais à accepter les guerres impériales meurtrières

    de l' Empire du Mal

    au profit des multinationales.

    Et dans ce but, tout est bon.

    Nous sommes conditionnés chaque jour,

    contre les Musulmans, les Russes, les Chinois.

    C'est une manière de nous préparer

    aux chocs de civilisations,

    Occident contre Orient,

    Judéo- Chrétiens contre Musulmans.


    Un choc si juteux pour les multinationales,

    notamment de l'armement et du pétrole,

    et pour les Grandes Banques ! 


    Aujourd'hui, propagande contre les Chinois,

    à l'occasion d'une émission où l'on parle de

    Pékin qui "persécute" les Ouïghoures !

    Quelle aubaine pour la propagande !

    Une occasion de plus de fustiger la Chine,

    le puissant rival de l'Occident,

    celui qui un jour pourra prétendre rivaliser avec lui

    et même le dépasser !

    Insupportable !

    IL faut mettre fin à ces prétentions, dès maintenant ! 

    Alors, les Médias sont là.

    Chaque émission est prétexte à critiquer la Chine,

    comme la Russie, l'Iran, le Vénézuela...

    tous les pays non-alignés,

    ou les futures puissances !

    Et ce jour, en avant la propagande contre la Chine,

    et au passage bien sûr contre la Russie,

    pour nous préparer à accepter les guerres inacceptables,

    les Médias sont CRIMINELS !


    Morceaux choisis :

    "Il n'y a que le discours OFFICIEL du Parti chinois" !

    La Chine ? 

    "Puissance, oppression,

    sujets mafieux, système policier ...

    comparer avec le Système soviétique ! "


    Occidentalisation de la Chine, un jour ?

    Pas possible, voyons !

    Les intérêts collectifs

    sont une préoccupation constante

    de la Chine de Confucius !!

    Et les Chinois osent parler d'ingérence de l'Occident,

    bien sür, pour "masquer" leurs propres lacunes !

    " C'est un discours de dictateurs !

    Il n'y a pas d'ingérence étrangère en Chine !"

    Il n'y a que ces cons d'internautes, n'est-ce pas,

    pour penser que le 11 septembre est une imposture,

    et que l'Etranger est derrière les événements

    en Iran, au Honduras, dans le Caucase,

    en Russie, au Tibet, etc, etc.

    Non, non, mille fois non !

    CIA et Mossad,

    ils s'occupent de leurs oignons,

    pas de formenter des divisions,

    des émeutes, des scissions,

    des révolutions orange, des coups d'Etat !

    M. Calvi, vous vous foutez de nous ?

    Vos mensonges sont trop énormes pour qu'on les croie !

    Vos invités sont trop semblables,

    ils dissertent à l'infini sur les bienfaits du libéralisme,

    de la politique de Sarkozy,

    de l'amitié franco-américaine,

    du besoin de sécurité d'Israël !!!

    C'est avec des Calvi et des Marie Drucker

    que les guerres impériales meurtrières

    se préparent, en faisant la propagande

    de l'Occident, des "sauveurs" américains,

    des jolies guerres !



    Ras-le-bol de vos mensonges,

    faux journalistes

    et vrais propagandistes-laquais

    au service de l'Elite politique

    qui jour après jour,

     

    dessine notre avenir totalitaire, inégalitaire,

     

    militaro-financier !

     


    Calvi, Drucker,

     

    vous pouvez vous regarder dans la glace, le soir ?

     

    C'est le visage de la trahison,

     

    le visage de l'infâmie,

     

    que vous contemplez !

     


    Vous êtes abjects,

     
    et nous vomissons votre pseudo-information,

    réellement criminelle !

     

    Qu'on se le dise !


     


    Eva R-sistons aux journaleux infâmes !


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